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Le Petit Lillois

·20 de agosto de 2024

« J’ai les crocs » assure Lucas Chevalier avant LOSC – Slavia Prague

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Imperturbable dans les cages du LOSC, Lucas Chevalier est impatient d’entendre la musique de la Ligue des Champions au Stade Pierre Mauroy. Pour cela, il sortira les crocs face au Slavia Prague ce mardi.

D’ici quelques heures à peine, les Dogues fouleront de nouveau la pelouse du Stade du Hainaut de Valenciennes. Après le Fenerbahçe, adversaire vaincu à l’issue d’une double confrontation haletante, c’est le Slavia Prague qui s’oppose à eux, adversaire coriace parvenu à surpasser les voisins de l’Union Saint-Gilloise au tour précédent. Peu importe le pedigree de l’adversité, Lucas Chevalier s’est montré affamé avant le coup d’envoi de cette rencontre : « Personnellement, je suis très bien que ce soit physiquement ou mentalement. On va dire que j’ai un peu les crocs, dit-il en souriant. Je suis content que l’on soit passé par cette page importante pour la saison, pour le club, pour l’histoire. J’aime ce genre de duels qui se jouent en deux manches et qui sera compliqué, peut-être même plus que le Fener’. Mais je n’ai aucun doute, tous les mecs sont motivés pour aller chercher cette qualification », lançait le dernier rempart lillois, dont les prestations avaient impressionné José Mourinho en Turquie.


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Plus que la Ligue des Champions en elle-même, c’est la disputer chez lui qui semble importer le plus à Lucas Chevalier, lui qui n’a connu que la Ligue Europa Conférence jusqu’ici : « Il y a une différence entre jouer la Ligue des Champions avec son club formateur ou avec un autre club, confie le natif de Calais. Ce serait d’autant plus gratifiant de la jouer en s’étant réellement qualifié, en allant chercher les choses après cette quatrième place frustrante puis ce tour en Turquie et ces barrages. Arriver au bout, ce sera difficile, mais ce sera une belle histoire pour moi. J’espère l’accomplir », poursuivait le jeune Dogue, toujours aussi ambitieux.

Ce qu’il souhaite, c’est pouvoir vivre un moment symbolique dans quelques semaines. « La nouvelle formule ? Du moment que je peux entendre la musique jouée à Pierre Mauroy, ça m’ira très bien », concluait-il ce lundi devant la presse. L’opposition face au Slavia Prague, dont le match aller est programmé ce mardi à 21 heures, devrait déjà lui donner quelques frissons, avec cette fameuse symphonie reconnaissable entre toutes au Stade du Hainaut.

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