Le reste de l’actualité autour des Girondins (Hamza Bouhadi quitte Bourges, Emilien Makagni déjà de retour en France, Plasil et la LDC de 2010 contre Lyon…)

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Girondins4Ever

·10 febbraio 2025

Le reste de l’actualité autour des Girondins (Hamza Bouhadi quitte Bourges, Emilien Makagni déjà de retour en France, Plasil et la LDC de 2010 contre Lyon…)

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Vous avez pu suivre toutes les informations et réactions concernant les Girondins de Bordeaux aujourd’hui, mais il y a eu plusieurs petites informations que nous n’avons pas pu traiter. Nous allons vous faire un récapitulatif de cette actualité « autour des Girondins ».

Hamza Bouhadi en National 3

Passé par les Girondins de Bordeaux entre 2019 et 2022 en provenance du centre de formation de Laval, Hamza Bouhadi n’a pas réussi à s’imposer pour signer pro. Parti en Belgique au Cercle Bruges (2022/2023), le milieu offensif ou ailier est ensuite revenu en France du côté de Bourges. Cette saison il n’était pas avec l’équipe première. Il vient de rejoindre le FC Chauray en N3 pour essayer de se relancer.

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Emilien Makagni de retour en France

Six petits mois et puis s’en va. Formé aux Girondins de Bordeaux, le milieu Emilien Makagni avait signé pro avant de quitter le club l’été dernier pour les raisons que l’on connaît tous. Il avait rejoint la réserve du Deportivo Alavès en Espagne, en compagnie de Grégoire Swiderski. Il revient donc en France dans le club de ses débuts, l’US Lusitanos Saint-Maur, club de National 3.

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Jaroslav Plasil se souvient de la défaite face à Lyon

A l’occasion de la confrontation entre Brest et le PSG, Sud Ouest a questionné Jaroslav Plasil sur la double confrontation entre les Girondins de Bordeaux et l’Olympique Lyonnais, en quart de finale de la Ligue des Champions en 2010.

« On avait tout pour réussir à passer, un staff très expérimenté. On essayait de s’appuyer sur nos points forts : dans la possession, on devait être supérieurs. Là-bas, on n’avait pas été à notre meilleur niveau techniquement. Au retour, ça avait été autre chose. À titre personnel, la frustration vient de ce penalty à l’aller. Au retour, Alou (Diarra) touche la barre, ça ne se joue à rien. Quinze ans après, il y a la fierté d’avoir bien représenté le club et le football français. Tous les joueurs du groupe tiraient dans le même sens, qu’ils jouent beaucoup ou moins : c’est devenu rare dans le football »