« Le LOSC est une grande équipe, un grand club » clame Ngal’ayel Mukau, nouvelle recrue du LOSC | OneFootball

Deuxième recrue estivale à Lille, Ngal’ayel Mukau s’est quelque peu ouvert au public lillois à travers une première interview accordée à l’équipe de communication du LOSC.

Le mois de juillet est synonyme de mouvements chez les Dogues, là où plusieurs arrivées ont récemment été enregistrées. Tour à tour, Ethan Mbappé (17 ans) et Ngal’ayel Mukau (19 ans) ont posé leurs valises au Domaine de Luchin. Le dernier nommé, dernier arrivant en date, s’est d’ailleurs récemment présenté au public lillois à travers une courte vidéo publiée par la formation lilloise : « Je suis Ngal’ayel Mukau, j’ai 19 ans. Je suis un milieu défensif et j’aime bien avoir le ballon, rentrer dans les duels, faire des feintes et tacler. Je regarde beaucoup Camavinga, N’Golo Kanté et Pogba, à l’époque. J’aime bien diriger le jeu aussi, c’est ce que je suis », débute-t-il.

Quand il était plus jeune, le Belge avait déjà eu l’opportunité de visiter le centre d’entraînement du LOSC. Revenir dans ces lieux dans la peau d’un joueur possède une autre saveur : « Le meilleur feeling que j’ai pu avoir, c’était ici. C’est une fierté pour moi de venir ici, dans un environnement aussi professionnel. Le LOSC est une grande équipe, un grand club. J’ai déjà rencontré le coach, on a déjà parlé. On a eu un bon feeling, poursuit-il. Je pense que c’est plus fort que la Belgique, quand on parle de duel, c’est plus physique. Et techniquement, c’est plus difficile en France. Je suis très curieux de voir comment ça va se passer. »

Autre point marquant, Ngal’ayel Mukau n’a pas peur des piqûres, mais n’aime pas trop ça. Ce qui le galvanise, ce sont les défis et c’est exactement ce que le LOSC lui propose. Le milieu de terrain connaît certaines histoires de Dogues, et notamment les ascensions de Leny Yoro et Eden Hazard. Il espère pouvoir suivre leurs pas : « Je sais aussi qu’Eden Hazard a joué ici. A l’époque, je le regardais beaucoup. C’est une fierté pour les Belges. […] J’ai vu qu’il y avait beaucoup de jeunes dans l’équipe, comme Leny Yoro. Je le vois comme un challenge, pour faire la même chose », conclut-il, évoquant un point qui a sans doute pencher dans la balance.

Ngal’ayel Mukau : Les coulisses de son arrivée