Alexandre Dujeux : « Un garçon très prometteur. Je ne sais pas jusqu’où il pourra aller. Sa marge de progression est grande » | OneFootball

« C’est un jeune garçon qui a commencé avec les Girondins de Bordeaux. Il a eu pas mal de pépins athlétiques l’année dernière. Il est arrivé chez nous. On cherchait peut-être un garçon un peu plus expérimenté, et au gré des opportunités on a pu faire un garçon comme ça qui est très prometteur. Je ne sais pas jusqu’où il pourra aller. Sa marge de progression est difficile à évaluer, mais elle est grande. C’est un garçon à potentiel. Il est arrivé, et au début on est reparti avec les garçons qui jouaient beaucoup l’année dernière. Et quand on a décidé de repasser à quatre, pendant la trêve internationale, j’avais bien aimé ce qu’il avait fait, donc on avait décidé de le lancer. Sur les quatre derniers matches, on en a perdus qu’un, et c’est des matches qu’il a pu faire, donc il a apporté quelque chose. Après, ça reste un jeune joueur perfectible, avec une grande marge de progression. Mais ses débuts sont prometteurs. Après, évidemment qu’il faut confirmer »

« Quand on est jeune, on joue beaucoup sur ses qualités intrinsèques évidemment. Après, c’est la gestion des situations, faire toujours le bon choix… Les placements, les avoir encore plus justes. Mais ça, ça vient au gré des matches et des expériences. L’expérience, c’est un nombre de situations qu’on voit et qu’on revoit, et qui permettent d’améliorer le bagage du joueur. Aujourd’hui, il en est là. Je ne sais pas s’il a 20 matches avec Bordeaux en professionnel, et il a quelques matches avec nous : il a une grosse marge de progression. Pour nous, c’est aussi intéressant. Un jeune joueur, on voit les choses, et c’est vrai que c’est la constance. Le garçon expérimenté est tellement habitué qu’il a une constance peut-être plus forte. En tout cas aujourd’hui, c’est aussi un de ses axes d’amélioration, mais qui est forcément évident. Et puis, l’année dernière, sa saison a été trinquée, il a eu beaucoup de blessures musculaires, six si je ne m’abuse. La progression, ça passe aussi par la disponibilité match après match ».

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