Lucas Chevalier (LOSC) : « J’ai rarement connu ça dans une équipe… Je les aime » | OneFootball

Lucas Chevalier (LOSC) : « J’ai rarement connu ça dans une équipe… Je les aime » | OneFootball

In partnership with

Yahoo sports
Icon: Le Petit Lillois

Le Petit Lillois

·17 juin 2024

Lucas Chevalier (LOSC) : « J’ai rarement connu ça dans une équipe… Je les aime »

Image de l'article :Lucas Chevalier (LOSC) : « J’ai rarement connu ça dans une équipe… Je les aime »

Dernier rempart du LOSC, Lucas Chevalier s’est récemment confié sur le collectif lillois auquel il semble très attaché, évoquant des relations très fortes entre chaque coéquipier.

Cette équipe est « une famille », c’est ainsi que Paulo Fonseca l’avait citée lors des dernières journées de championnat, mettant des mots sur une symbiose collective. Celle-ci, elle a fait naître certains scènes cocasses, comme une virée dans les boutiques lilloises avec Edon Zhegrova. Un père et un fils, tout pouvait s’y assimiler. Dans un entretien accordé à Today it’s Football sur Youtube, Lucas Chevalier a spontanément évoqué ce lien fort qui unissait chaque individu de l’équipe du LOSC version 2023-24 : « Je vois beaucoup de talents, que des bons mecs et je vois aussi une mixité. Un Canadien, un Suédois, un Islandais, un Français, un Kosovar, un Brésilien, un Algérien, un Portugais, un Français/Corse, cite-t-il, en revoyant l’équipe alignée face à Aston Villa à Birmingham. Tout ça, toutes ces cultures s’entremêlent normalement. Il y a des humours différents, mais ça se comprend de fou. J’ai rarement connu ça, une équipe dans laquelle tu sens que tu as créé un truc. Tu as toujours plus d’affinités avec certains que d’autres, dans un vestiaire tu peux avoir des clans, des mecs que tu n’aimes pas, mais là, il n’y en a aucun. Ce ne sont que des bons gars qui donnent tout et sont ambitieux », confie le portier lillois.


Vidéos OneFootball


Cette entente, elle semble également provenir du dernier point évoqué : l’ambition. Celle-ci a animé les Dogues tout au long de la saison, des Dogues qui se ressemblaient, se rassemblaient, unis vers de mêmes objectifs : « Tous ces mecs-là, ils joueront plus haut plus tard. Lille n’est pas leur maximum. Je suis sûr et certains qu’ils joueront plus haut, juge-t-il. Il y a de l’ambition, de la jeunesse qui a envie de montrer qu’elle en a, c’est peut-être aussi pour ça qu’il nous manquait un truc, de l’expérience. Sans ce talent, on n’aurait pas pu réaliser la saison que l’on a faite… Je les aime quand même », lance Lucas Chevalier avec émotion, avant de rire de cette déclaration d’amour. Celle-ci, pourtant, veut bel et bien tout dire.

Lucas Chevalier : l’interview complète

À propos de Publisher