Amadou Onana (LOSC) : « Aller chercher une place de titulaire » | OneFootball

Arrivé cet été en provenance d’Hambourg contre sept millions d’euros, Amadou Onana occupe, pour l’instant, une place dans la rotation de l’effectif de Jocelyn Gourvennec. Le capitaine des Espoirs belges estime néanmoins être ambitieux et espère jouer plus fréquemment lors de la deuxième partie de saison. Entretien.

Amadou Onana, quel bilan tirez-vous de vos six premiers mois à Lille ?

Je pense que je peux être satisfait de cette première partie de championnat. Je suis quelqu’un d’assez ambitieux et qui travaille pour en avoir plus. L’objectif de cette deuxième partie de saison va être de donner le maximum et le meilleur de moi-même pour aller chercher, pourquoi pas, une place de titulaire, ou dans tous les cas jouer plus fréquemment.

On vous sent de plus en plus à l’aise dans le vestiaire et sur le terrain…

Je le ressens personnellement aussi. C’est peut-être aussi dû au fait qu’on m’en demande plus. On me demande de prendre mes responsabilités et c’est ce que j’essaye de faire. Ça s’est vu sur les dernières semaines que je me sens plus libre sur le terrain. J’entreprends plus de choses. Bien heureusement pour moi, ça me réussit. Je dois continuer sur cette voie-là.

Avez-vous obtenu des conseils de certains cadres ?

Je pense qu’ils essaient tous de m’aider. Il n’y a pas un cadre en particulier qui me donne plus de conseils qu’un autre. Je pense qu’il essaye tous de m’aider et je prends le maximum qu’il y a à prendre. Ce sont des joueurs expérimentés qui ont eu des carrières formidables. Je pense que je ne peux qu’apprendre plus.

Comment vous organisez-vous avec les nouveaux variants du Covid ?

J’ai pris le moins de risque possible pendant la période de fête. J’ai fait le plus attention possible en passant mon Noël en famille en comité très réduit. On fait tout pour. On respecte les gestes barrières pour avoir le moins de cas possible. Ici, à Luchin, on a changé de vestiaires. On est maintenant dans un endroit beaucoup plus espacé où on peut moins être les uns sur les autres. Ils font le maximum pour éviter les contaminations. On fait tout ce qu’il y a à faire pour éviter cela.