PSG - Arsenal : Fabian Ruiz régale, Donnarumma décisif... Paris en finale à la pause ! | OneFootball

A la pause du choc entre le PSG et Arsenal en demi-finale de Ligue des champions, le club parisien mène et peut entrevoir une qualification en finale plus que jamais !

Dans cette demi-finale retour de Ligue des champions, le PSG mène 1-0 à la pause face à Arsenal, confirmant pour le moment son avantage acquis au match aller (1-0). Dans un début de rencontre tendu et dominé par les Gunners, c’est encore une fois Gianluigi Donnarumma qui a maintenu son équipe à flot.

Le portier italien a multiplié les arrêts décisifs dès les premières minutes, d’abord face à Martinelli (4’), puis sur une reprise d’Odegaard (8’) dans une parade spectaculaire qui a fait lever le Parc des Princes. Un instant inquiétant pour les supporters : Donnarumma est resté au sol après cet arrêt, mais a pu reprendre sa place.

Malmené dans le premier quart d’heure, Paris a peu à peu retrouvé de la maîtrise. Kvaratskhelia a failli faire basculer le match à la 16e minute avec une frappe enroulée sublime qui s’écrase sur le poteau. Ce moment a marqué un tournant dans la dynamique de la rencontre. Sur une offensive mal repoussée d'Arsenal, Fabian Ruiz a réalisé un geste de grande classe à la 27e minute : contrôle de la poitrine et volée magistrale à l’entrée de la surface, légèrement déviée par Saliba, qui trompe Raya.

Un bijou qui a libéré les Parisiens

À partir de ce but, Paris a montré plus de maîtrise. L'équipe de Luis Enrique a su mieux ressortir les ballons et exploiter les espaces, notamment grâce à un Ruiz inspiré à la création. Il sert parfaitement Kvara en profondeur sur une action qui aurait pu offrir le but du KO à Barcola (29’), mais la frappe est trop écrasée.

Arsenal, de son côté, a tenté de maintenir la pression, notamment sur coups de pied arrêtés, mais a manqué de tranchant dans la surface adverse. Merino, bien servi par Rice à la 32e, a manqué sa reprise.

Dans les duels, la tension est palpable, à l’image des avertissements infligés à Nuno Mendes et Declan Rice. Malgré quelques maladresses comme la talonnade manquée de Doué (39’), le PSG tient son rang.

À la mi-temps, Paris est en route pour la finale. Ruiz a illuminé le match, Donnarumma a été impérial, et Arsenal, malgré un début prometteur, semble à court d’idées face à la solidité parisienne. Le Parc y croit plus que jamais.

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