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·30 de marzo de 2025

Ex-OM : Ce marseillais qui braque ses coéquipiers avec un « calibre »

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L’ancien marseillais Eric Di Meco (1980-1994) a connu des joueurs un peu fous à l’OM et c’est notamment le cas de Pascal Olmeta. L’ancien gardien de but n’a pas hésité à braquer Basile Boli, son coéquipier, en plein Marseille.

Le consultant de RMC Sport était le portier marseillais entre 1990 et 1993 et il a apporté un grain de folie à l’OM. Eric Di Meco a raconté une anecdote qui passerait mal aujourd’hui. En effet, Pascal Olmeta n’hésitait pas à venir avec une arme à feu à l’entraînement. Il n’a pas hésité à braquer Basile Boli, qui était dans sa voiture en plein Marseille.


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« Je l’ai vu arriver un jour à l’entraînement, sortir son calibre et tirer en l’air »

« Le joueur le plus dingue ? Pascal Olmeta. Je l’ai vu arriver un jour à l’entraînement, sortir son calibre et tirer en l’air, comme ça. Il venait à moto, même si c’était interdit, et une fois, pareil: sur l’autoroute, il a sorti son calibre et il a braqué Basile Boli, qui roulait tranquillement au volant de sa voiture. Evidemment, Basile ne l’a pas reconnu avec son casque, et il a eu la peur de sa vie. Au jubilé de Canto à Manchester, il sortait jusqu’aux trente mètres, il dribblait des mecs, il taclait… Sir Alex Ferguson est tombé amoureux de lui et depuis, il s’est mis en quatre pour être présent lors des matchs que Pascal organise pour son association » Source : Var Matin

Pascal Olmeta avait, lui aussi, raconté une anecdote sur Didier Deschamps.

« Deschamps aussi, je l’ai braqué, dans un hôtel »

« À chaque fois, je l’emmerdais lui (Basile Boli). Un jour, à moto, je l’ai braqué sur l’autoroute Marseille-Cassis, avec un truc qui tirait des grenailles. J’avais mon casque, il était comme un fou ! Deschamps aussi, je l’ai braqué, dans un hôtel. Après avoir escaladé jusqu’à sa fenêtre, je suis ressorti et je suis revenu frapper à sa porte. Il avait pris peur et quand il a ouvert, j’étais là avec un gros couteau. Il disait que j’étais jobard, mais bon, c’est pour ça qu’on s’aime autant, hein »

La réputation un peu folle du corse n’est plus à prouver. Cependant, c’est ce genre d’anecdotes qui resserrent les liens dans un groupe et c’était également un autre temps. Aujourd’hui, les anecdotes seraient différentes évidemment, mais c’est ce qui soude un groupe.

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