Joël Bats : “Bordeaux, c’était à la fois proche, mais je n’avais pas les moyens d’aller me déplacer pour voir les matches à Bordeaux non plus…” | OneFootball

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·4. Juli 2024

Joël Bats : “Bordeaux, c’était à la fois proche, mais je n’avais pas les moyens d’aller me déplacer pour voir les matches à Bordeaux non plus…”

Artikelbild:Joël Bats : “Bordeaux, c’était à la fois proche, mais je n’avais pas les moyens d’aller me déplacer pour voir les matches à Bordeaux non plus…”

Dans Le Podcast des Légendes, l’ancien entraineur des gardiens de but de l’Olympique Lyonnais, Joël Bats, a répondu à la question de savoir quelle était l’équipe qu’il supportait étant jeune, puisqu’il est originaire de Mont-de-Marsan.

« L’équipe que je supportais quand j’étais plus jeune ? Je n’avais pas d’équipe spécialement. Quand j’étais jeune, la grande équipe c’était les Verts, et la France entière était derrière cette équipe-là. Bordeaux, c’était à la fois proche, mais je n’avais pas les moyens d’aller me déplacer pour voir les matches à Bordeaux non plus… Je n’avais pas d’équipe, à part les Verts, qui étaient aimés de toute la France. J’ai suivi leurs épopées à la télévision, et après c’était l’Equipe de France. Il y a juste une fois, notre accompagnateur qui nous amenait partout pour jouer les matches le dimanche matin, il nous a amené avec son fils voir un match à Bordeaux. C’est comme ça que j’avais pu voir en vrai ce qu’étais un match de première division à Bordeaux. Le gardien à l’époque, c’était Pierre Rigoni, donc ça remonte à loin. C’était un gardien que l’on collectionnait en image sur les Panini… Je l’avais vu en vrai, mais je l’avais vu en premier sur les images Panini. Je n’avais pas d’équipe dont j’étais fan au départ »

Puis il rappela pourquoi il n’avait pas signé aux Girondins.


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« Si je n’ai pas choisi Bordeaux, c’est parce qu’il n’y avait pas de centre de formation. Il fallait que je m’entraine le soir et que je fasse mes études la journée. Je ne me voyais pas faire ça. Je ne me voyais pas avoir la famille à côté et ne pas pouvoir rentrer… Quitte à partir, je voulais vraiment partir ».

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