Steve Shamal : “A Bordeaux, je sais que j’étais plus fort que les autre, mais je pense que mentalement j’ai faibli” | OneFootball

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·06 de julho de 2025

Steve Shamal : “A Bordeaux, je sais que j’étais plus fort que les autre, mais je pense que mentalement j’ai faibli”

Imagem do artigo:Steve Shamal : “A Bordeaux, je sais que j’étais plus fort que les autre, mais je pense que mentalement j’ai faibli”

Dans le Money Time Cast, l’ancien attaquant des Girondins de Bordeaux, Steve Shamal, est revenu sur la non-signature de son premier contrat professionnel au FCGB.

« En fait, je suis resté focus, par rapport à mon éducation… J’ai perdu mon père tôt, c’est ma mère qui s’est occupée de moi. J’ai eu cette éducation avec ma mère, mes tantes, qui m’ont gardé dans le droit chemin. Et surtout ma mère, elle ne voulait vraiment pas que j’aille dans certains endroits de cité, et j’en suis reconnaissant aujourd’hui parce que c’est comme ça que j’ai gardé mon calme. Et après, quand tu es là-bas… Je n’ai pas forcément fait les bonnes choses aussi. Je sais que j’étais plus fort que les autres, et ça tout le monde le sait. Même quand des gens en reparlent avoir moi… A un certain moment, je pense que mentalement j’ai faibli ».

Puis il argumente.


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« Tout le monde te dit de travailler. Mais c’est quoi travailler ?! On ne te montre pas comment travailler. C’est un peu des trucs de ‘merde’ entre guillemets. On ne te montre pas ce qu’il faut faire, pour vraiment être là… On ne t’accompagne pas vraiment. Aujourd’hui il y a plein de choses, comme des préparateurs, des prépas au niveau mental. Alors qu’avant c’était toi. Si tu avais un peu de chance, ça passait. Par exemple, Jules Koundé. Lui, il était en avance sur nous. Il n’avait pas plus de qualités que nous, mais il était en avance sur nous. Quand on était petits, on ne comprenait pas ça. Il était sérieux, il bossait dans sa chambre. Mais nous, comme on était plus forts… En plus, on était en Equipe de France de jeunes, à la fin tu te vois un peu trop beau, et ça te rattrape tôt ou tard… Bref, je pense qu’au final c’était le travail, le mental. Et c’est vrai, à un moment je n’ai pas eu ce côté paternel, et ça a joué sur moi à un certain moment, même si ma mère a fait le boulot ».

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