« Quand tu as les outils et que tu ne veux pas les utiliser… » : László Bölöni encore agacé par l’arbitrage du match Metz-Rennes | OneFootball

Sans Mathieu Udol ni Arthur Atta, László Bölöni va tenter de réaliser la très bonne opération de la 33e journée de Ligue 1. En effet, si le FC Metz venait à battre son rival Strasbourg sur la pelouse de la Meinau, il reviendrait à la hauteur du Havre AC, premier non relégable avec 32 points, et pourrait le dépasser en faisant un meilleur résultat que lui lors du dernier match de la saison ! Le tout dans une atmosphère de derby qui s’annonce électrique, mais qui ne semble pas perturber l’expérimenté technicien roumain.

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« Moi, je répète encore une fois qu’il y a la pression du résultat, comme toujours. Pas plus grande, pas plus petite, pour moi. On sort, on se prépare, on a une opportunité et on veut s’en servir au maximum de ce qu’il est possible de faire. »

La suspension annulée de Georges Mikautadze

« Ce n’est pas un soulagement, moi j’aurais préféré – si j’avais pu chois entre deux vérités – que le penalty inexistant ne soit pas accordé à Rennes. C’est vrai que c’est bien, on récupère un peu une erreur mais on ne récupère pas les points perdus dans un tournant du match, dans lequel je suis convaincu que c’était une erreur. Et ça, ça peut influencer le déroulement de la vie d’un club. Je ne digère pas. Parce que quand tu es dans un travail, peu importe lequel, tu essayes d’éliminer tous les risques, autant que possible. Si je les élimine, j’ai toutes les chances que les choses se déroulent bien. Mais quand tu as les outils et que tu ne veux pas les utiliser… je ne comprends pas. Si tu n’as pas les outils, on peut commencer la discussion, chacun va raconter son histoire. Mais quand tu as ton outil et que tu ne l’utilises pas… Il y a une responsabilité qui peut coûter des millions d’euros. Des millions, des dizaines de millions. Je crois que c’est pour ça que je digère difficilement (ces choix). Ce n’est pas une question de vouloir influencer (les arbitres). C’est autre chose. Des erreurs, on en fait tous dans la vie. Mais ne pas tout faire pour corriger les erreurs, c’est la plus grande erreur. »

Photo Sandra Ruhaut/Icon Sport