Peuple-Vert.fr
·29 de novembro de 2024
In partnership with
Yahoo sportsPeuple-Vert.fr
·29 de novembro de 2024
Après une victoire précieuse face à Montpellier (1-0), l'ASSE espère entamer une série du côté de Rennes. Les stéphanois affronteront le SRFC ce samedi à 17 heures. Olivier Dall'Oglio s'est présenté en conférence de presse ce jeudi. Extrait.
Olivier Dall'Oglio (Entraîneur de l'ASSE) :"Pour ce week-end, on a une mauvaise surprise. Augustine Boakye a ressenti une douleur hier sur un démarrage, il ne sera pas sur le match. On a toujours le problème avec Yvann Maçon avec son genou. Il est toujours gonflé. On prendra une décision, ce n’est pas tranché pour l’heure.
Sinon, les retours sont plutôt encourageants pour Monconduit et Briançon, mais ça prendra certainement un peu plus de temps que prévu. On a fait revenir ces garçons progressivement dans le groupe, mais pour l'instant ce n'est pas encore à temps complet.
Après, il y a Micka Nadé pour qui ça se poursuit. C’est encourageant. Il a repris la course, sans problème. Ben Old a reposé le pied au sol, toujours avec les béquilles, mais ça va. On prendra aussi beaucoup de temps avec lui.
Augustine, c'est certainement musculaire, mais comme c'est récent, on va attendre sur les examens pour avoir quelque chose de plus précis. C'est en haut du quadriceps."
Olivier Dall'Oglio (Entraîneur de l'ASSE) : "Moins de pression en étant hors de la zoner rouge ? Chaque victoire amène son lot de satisfaction et son lot de confiance. On a besoin de trouver de la confiance, surtout quand les joueurs sont un peu plus fatigués. Ce qui est le cas en ce moment. C'est une période assez délicate. On a changé de saison. On voit un peu plus de fatigue et de blessures. Rajouter de la confiance fait du bien.
Cette semaine a été active, mais elle a été utile dans la récup également. Dans les têtes, on est plus clair et dans les jambes, on est plus léger.
On discute beaucoup avec les joueurs pour avoir leur ressenti. On leur fait confiance. On est capable de les laisser souffler sur une séquence ou deux. On a les outils modernes aujourd'hui comme des GPS qui nous aident. On voit les garçons qui sont en surmenage parfois. On se sert de la technologie et du côté humain pour prendre des décisions. Mais on est vraiment vigilant sur les intensités de séance. S'il faut enlever un quart d'heure, on l’enlève sans que ça nous gêne trop dans le fonctionnement.
Ce n'est pas toujours simple d’expliquer aux joueurs qu’on réduit les séances. Certains ont besoin de prouver des choses. Pour eux, c’est plus dur à attendre parce qu'ils veulent montrer."