Nicolas Maurice-Belay : “Devant la surface, c’était comme si je faisais caca mou (rires). Il disait ‘on se lève de notre siège, et dès qu’il arrive dans la surface, on se rassoit’” | OneFootball

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·01 de julho de 2025

Nicolas Maurice-Belay : “Devant la surface, c’était comme si je faisais caca mou (rires). Il disait ‘on se lève de notre siège, et dès qu’il arrive dans la surface, on se rassoit’”

Imagem do artigo:Nicolas Maurice-Belay : “Devant la surface, c’était comme si je faisais caca mou (rires). Il disait ‘on se lève de notre siège, et dès qu’il arrive dans la surface, on se rassoit’”

Pour ARENA, l’ancien ailier des Girondins de Bordeaux, Nicolas Maurice-Belay, est revenu sur son passage en formation à l’AS Monaco.

« J’étais quelqu’un qui ne bossait pas assez, qui jouait sur ses acquis. Souvent les coaches, que ce soit à Clairefontaine ou Monaco, me tançaient beaucoup parce que je ne marquais pas assez. Un coach disait de moi aux générations en-dessous ‘Maurice-Belay, limite, c’est un escroc’. Comme je prenais le ballon de loin, quand j’arrivais devant la surface de réparation, c’était comme si je faisais caca mou (rires). Il disait ‘on se lève de notre siège, et dès qu’il arrive dans la surface, on se rassoit’ (rires). Mes anciens partenaires du centre me disaient qu’à chaque fois il me prenait en exemple pour parler de ça. Je n’étais pas assez tueur. Je n’étais pas doué naturellement pour marquer, et je n’ai jamais voulu le bosser, parce que ça ne me dérangeait pas entre 13 et 16 ans. Quand tu élimines quelqu’un et que tu veux toujours centrer, tu n’as pas envie de tirer. J’avais des opportunités de tirer, mais depuis petit je faisais ça. Le boulot, ça aurait été de changer ton état d’esprit. Déjà, tu en fais un peu plus, et moi par exemple, jamais je ne bossais devant le but. Je ne voulais pas. C’est ce qui m’a manqué toute ma carrière. Si tu veux gagner 300000€ de plus par mois, c’est les 18 mètres qui comptent (rires). Le reste… Mais c’est comme ça »

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