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·30 de janeiro de 2025
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·30 de janeiro de 2025
Enfant du club, Lucas Chevalier faisait partie des joueurs les plus émus après la victoire du LOSC contre Feyenoord (6-1), synonyme de top 8 et de qualification directe pour les huitièmes de finale de la Ligue des Champions.
Il y a tout et ça restera, d’une certaine manière, marqué dans l’histoire. Le LOSC n’arrive pas souvent en huitième de finale de Ligue des Champions, surtout avec cette formule où les huit premières places semblaient destinées aux meilleures équipes. On a montré qu’on était une des meilleures. Avec les absents, les blessures, le fait d’être compétitif sur tous les tableaux, c’est remarquable. Je pense que tout le monde s’est régalé avec cette formule.
A la base, quand il y a le tirage au sort, on ne croît pas au top 8. On pense à aller chercher les barrages, on savait qu’on pouvait le faire avec deux trois victoires. L’ambition est venue au fur et à mesure. On se surprend aussi soi-même, on a un regain d’énergie à chaque fois. C’est une sensation très agréable. Même quand ça peut paraître compliqué, on s’en sort.
Au coup de sifflet final, je ne sais pas exactement à quelle place on est. Forcément, au moment où on le sait, c’est incroyable. Septième avec 16 points, un super goal-average, avec le tirage qu’on avait… On avait que des grosses équipes, le Feyenoord venait d’éclater le Bayern. C’est un sentiment incroyable de mettre le club en huitièmes de finale avec cette formule. Cela va jouer sur notre calendrier, ça nous enlève deux matches en février. Il faut de la fraîcheur. On va arriver avec de l’énergie pour tenter de créer encore l’exploit. Ensuite, dans le vestiaire, j’ai rarement vu ça. On se rendra peut-être compte de ce qu’on a fait par la suite.
Propos recueillis par Enzo PAILOT avec Romain PECHON
Crédits photo : Anthony Dibon/Icon Sport