Le numéro maudit d’Alvaro Carreras | OneFootball

Le numéro maudit d’Alvaro Carreras | OneFootball

In partnership with

Yahoo sports
Icon: Real France

Real France

·16 de julho de 2025

Le numéro maudit d’Alvaro Carreras

Imagem do artigo:Le numéro maudit d’Alvaro Carreras

Pour sa première saison sous le maillot madrilène, Carreras portera le numéro 18. Un numéro qui, dans l'histoire du club, n’a pas souvent été synonyme de réussite.

Álvaro Carreras est officiellement un joueur du Real Madrid. Le jeune latéral espagnol, débarqué en provenance de Benfica contre un chèque de 50 millions d’euros, s’est engagé pour six saisons avec le club merengue, jusqu’en juin 2031. Mais au-delà du montant important de son transfert (qui fait de lui le deuxième défenseur le plus cher de l’histoire du club), un détail attire l’attention : le numéro 18 qu’il a choisi de porter.


Vídeos OneFootball


Dans l’histoire récente du club, rares sont ceux qui ont véritablement brillé avec ce numéro dans le dos. Le dernier en date, Jesús Vallejo, n’a jamais réussi à se faire une place dans l’effectif. Avant lui, Aurélien Tchouaméni l’avait brièvement porté avant d’opter pour le 14, tandis que Gareth Bale l’avait récupéré à son retour de prêt à Tottenham.

Woodgate, Faubert, Jovic…

À Madrid, le 18 a souvent été attribué à des joueurs qui ont laissé un goût d’inachevé, voire d’échec. Parmi ceux qui l’ont porté, il y a par exemple Jonathan Woodgate, dont le passage au club a surtout été marqué par les blessures. Mais aussi Mariano Díaz, de retour avec de grandes promesses mais jamais au niveau attendu.

Antonio Cassano aussi, davantage remarqué pour ses frasques que pour ses performances, ou encore Julien Faubert, arrivé en prêt de West Ham qui n'aura fait que 2 petites apparitions avant de repartir. On peut aussi compter Luka Jovic, grosse recrue offensive réclamée par Zidane mais énorme flop au final.

À cette liste peu glorieuse s’ajoutent aussi des joueurs plus discrets, qui n’ont tout simplement pas marqué les esprits : Javier Portillo, Saviola ou Víctor Sánchez del Amo, tous passés par le Santiago Bernabéu sans vraiment y laisser de trace durable.

Álvaro Carreras, lui, explique ne pas donner trop d’importance à la signification des numéros de maillot. Lors de sa présentation, interrogé sur son choix de reprendre le 18, l’Espagnol a répondu : "J’aurais pris n'importe quel numéro pour jouer dans ce club".

Saiba mais sobre o veículo