Laurent Brun : “Savoir jouer sur des terrains pourris, cela fait partie du bagage du footballeur, qu’il soit amateur ou professionnel” | OneFootball

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·25 de agosto de 2025

Laurent Brun : “Savoir jouer sur des terrains pourris, cela fait partie du bagage du footballeur, qu’il soit amateur ou professionnel”

Imagem do artigo:Laurent Brun : “Savoir jouer sur des terrains pourris, cela fait partie du bagage du footballeur, qu’il soit amateur ou professionnel”

Sur TV7, le journaliste et commentateur Laurent Brun, est revenu sur la première mi-temps des Girondins face à Granville, où l’on n’a pas vu grand-chose.

« A la mi-temps, les bordelais ont quasiment reproduit à l’identique la même prestation que la semaine précédente face à Avranches. Cette première période, ce n’était pas un grand trip, un grand kiff. Les Girondins ont essayé en jouant haut, et ont un peu plus montré que leur adversaire, mais la pelouse est très difficile, pratiquement injouable. Ça ne favorise pas les échanges au sol. On est un peu dans la ligne de la semaine précédente. On ne s’est pas endormi en première, mais on n’a pas cri au match du siècle… On est en début de saison, il n’y a pas péril en la demeure, mais il n’y a pas de quoi se rassurer non plus »

Et une seconde fois, les coups de pied arrêtés n’ont pas été bons…


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« 6 corners en première période. C’est bien de se procurer des corners parce que ce sont des armes offensives importantes. Mais quand vous mettez 100% de vos corners sur les poings du gardien adverse ou dans ses mains, forcément, ça n’apporte pas grand-chose ».

Et puis, le gros points noir, c’est cette pelouse…

« La pelouse est très difficile, pratiquement injouable. C’est frustrant, c’est énervant, parce que les Girondins n’ont pas réussi à se trouver. Dès que le ballon touche le sol, il prend un rebond différent, ou en tout cas pas un rebond traditionnel sur une pelouse digne de ce nom. Mais bon, il faut savoir s’adapter, il faut savoir en quatrième division nationale, en amateur, s’adapter à tous les types de pelouse. On l’a vu la saison passée, notamment avec celle de Blois, qui était injouable. Bruno Irles le rappelle souvent, qu’on est là où on est, donc qu’il faut s’adapter, et savoir jouer sur des terrains pourris, n’ayons pas peur des mots… Cela fait partie du bagage du footballeur, qu’il soit amateur ou professionnel ».

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