Ivan Perez : « C’est là que sont arrivés les Girondins de Bordeaux, après m’avoir vu au championnat d’Europe » | OneFootball

Ivan Perez : « C’est là que sont arrivés les Girondins de Bordeaux, après m’avoir vu au championnat d’Europe » | OneFootball

In partnership with

Yahoo sports
Icon: Girondins4Ever

Girondins4Ever

·05 de março de 2025

Ivan Perez : « C’est là que sont arrivés les Girondins de Bordeaux, après m’avoir vu au championnat d’Europe »

Imagem do artigo:Ivan Perez : « C’est là que sont arrivés les Girondins de Bordeaux, après m’avoir vu au championnat d’Europe »

Pour FutCast, l’ancien attaquant des Girondins, Ivan Perez, est revenu sur son départ du Bétis Séville pour Bordeaux, l’année du titre 98-99 des bordelais.

« Je suis au Bétis, et on m’appelle alors que je suis en sélection, au championnat d’Europe, en Roumanie. Ce qui se passe c’est que ce championnat d’Europe est quelque chose qui me valorise, car j’ai bien sûr marqué trois buts et je deviens Champion d’Europe. J’étais le lauréat du championnat d’Europe, et c’est là que je signe aux Girondins de Bordeaux. Il y avait quelqu’un là-bas qui s’appelait Charles Camporro, qui était le directeur sportif des Girondins. Il m’avait vu lors de ce championnat d’Europe. Il m’a donc fait signer, en faisant un transfert ».

Et ce départ a été bien aidé par le coach de Séville, Javier Clemente.


Vídeos OneFootball


« Le plus important c’est qu’un coach vous dise la vérité. Je préfère qu’un entraineur me dise qu’il ne m’aime pas ou qu’il ne compte pas sur moi. J’ai eu de bons entraineurs et Javier Clemente, je serais toujours reconnaissant envers lui. Bien sûr, il y avait beaucoup de concurrence devant moi, j’avais très peu l’occasion de pouvoir jouer que ce spot au Dépor, au Bétis, à Madrid, et même aux Girondins. Clemente m’a dit que s’il y avait une offre pour moi, qu’il m’aiderait à quitter le Bétis. J’avais 20-21 ans et il m’a clairement dit que je ne devais pas m’inquiéter, que si une équipe arrivait, il m’aiderait. Et c’est là que sont arrivés les Girondins de Bordeaux, après m’avoir vu au championnat d’Europe. J’étais à Séville depuis peu de temps, j’étais content d’y être, j’avais acheté une maison, ma famille venait avec moi… Le climat aussi, c’était une ville incroyable. Mais au final, Javier Clemente a été sincère. Il m’a dit que je n’aurais pas la possibilité de jouer, parce qu’il y avait tel joueur à droite, à gauche, devant, Denilson… Qu’en pointe, il ne jouait qu’avec un attaquant, et que si j’avais une chance de jouer ailleurs, étant donné mes 21 ans, il fallait partir. Je suis éternellement reconnaissant parce que Clemente a été franc avec moi. C’est ce que tous les entraineurs devraient faire. C’est mieux de dire qu’on ne compte pas sur un joueur que de lui mentir ».

Saiba mais sobre o veículo