Fabregas veut jouer un sale coup à Xabi Alonso avec une pépite du Real Madrid | OneFootball

Le Real Madrid pensait avoir tout prévu pour cette pépite, mais Cesc Fabregas veut jouer un sale coup au Real Madrid et Xabi Alonso.

C'est devenu une habitude des gros clubs pour contrôler le marché. Conscients de ne pas pouvoir offrir un temps de jeu nécessaire à tous leurs espoirs issus du centre de formation, les cadors européens ne sont désormais plus craintifs à l'idée de vendre leurs pépites. La raison ? Ils décident d'inclure des clauses de rachat afin de pouvoir récupérer leurs éléments à tarifs avantageux.

C'est ce qu'avait notamment fait le Paris Saint-Germain avec Xavi Simons ou encore le Real Madrid avec Brahim Diaz, pour ne citer qu'eux, ces dernières années. Dans cette optique, les Merengue n'ont pas eu de mal à dire adieu à l'une des plus grandes promesses de la Maison Blanche, le jeune Nico Paz, vendu six millions d'euros à Côme à l'été 2024.

Côme veut Nico Paz définitivement

Pour sa première saison en tant que titulaire, le gamin de 20 ans a tout cassé en Italie. Sous les ordres de Cesc Fabregas, le milieu offensif a été élu meilleur jeune joueur de Serie A avec 35 matchs pour six buts et neuf passes décisives toutes compétitions confondues. Dans le contrat de sa vente, les Merengue disposent d'une clause pour le racheter à seulement... neuf millions d'euros alors que sa valeur est de... 35 millions !

Le Real Madrid peut déclencher cette clause jusqu'en 2026, mais ça n'est pas vraiment du goût de Fabregas, le coach de Côme. Comme le dévoile le journaliste italien Gianluca Di Marzio, les dirigeants italiens aimeraient obtenir la totalité des droits sportifs du jeune argentin, mais la mission promet d'être particulièrement compliquée.

Le Real Madrid temporise

En effet, le Real Madrid, qui suit avec assiduité les progrès du joueur, n'a pas l'intention de le lâcher aussi facilement. Pour convaincre la direction madrilène, il faudra ainsi offrir un gros chèque, ce qui n'est pas vraiment un problème au regard des moyens colossaux dont disposent les propriétaires indonésiens du club. Le véritable obstacle est donc de savoir si oui ou non la Maison Blanche veut définitivement lui dire adieu. Et ça ne serait donc plus une question d'argent.

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