Bruno Irles : « Je n’en ai pas vu un qui a lâché, un qui a baissé les bras. Ils sont abattus, mais ils relèveront la tête parce qu’ils savent aussi dans quel club ils sont » | OneFootball

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·22 de março de 2025

Bruno Irles : « Je n’en ai pas vu un qui a lâché, un qui a baissé les bras. Ils sont abattus, mais ils relèveront la tête parce qu’ils savent aussi dans quel club ils sont »

Imagem do artigo:Bruno Irles : « Je n’en ai pas vu un qui a lâché, un qui a baissé les bras. Ils sont abattus, mais ils relèveront la tête parce qu’ils savent aussi dans quel club ils sont »

Au terme de la rencontre et via Forever, l’entraineur des Girondins de Bordeaux, Bruno Irles, a confirmé que ses joueurs devaient donner encore plus, mais hors de question pour dire qu’ils n’étaient pas dans l’état d’esprit.

« La solidarité, on ne peut pas dire qu’il n’y en ait pas. Ils ont envie… Ils se parlent sur le terrain, ils s’encouragent. Il y a des moments où on s’engueule aussi, mais justement, elle vit cette équipe… Elle a envie, elle avait envie jusqu’à la 97ème de revenir au score. Je n’en ai pas vu un qui a lâché, je n’en ai pas vu un qui a baissé les bras. En ce moment, ça ne suffit pas. L’état d’esprit… Il faut simplement leur relever la tête à chaque fois parce que là, c’est difficile ».

Le coach bordelais insiste : le groupe ne lâche pas.


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« Déjà, on est à la cinquième défaite… Est-ce que vous avez senti un groupe abattu ce soir ? Est-ce que vous avez senti un groupe résigné, qui n’avait pas envie ? Moi, non. Je n’ai pas senti ça, et pourtant, ça s’enchaine… Et à chaque fois, ils relèvent la tête, ils repartent à la bagarre parce que c’est du National 2, on sait qu’on sera à la bagarre et qu’on sera attendus… Vous l’avez vu encore ce soir. On est attendus, on se met bas, on nous contre… On connait. On est en danger encore par moment, mais jamais ils ont baissé la tête. La dynamique, pour qu’elle soit cassée, il aurait fallu qu’ils lâchent, ou que vous sentiez qu’ils aient lâché. Pour moi, ils n’ont pas lâché. Ils sont abattus, mais ils relèveront la tête parce qu’ils savent aussi dans quel club ils sont, et ce qu’ils doivent faire sur la fin de saison ».

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