Red Star FC – Grégory Poirier après l’ESTAC (0-3) : « On fait un pas en arrière dans notre progression » | OneFootball

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·9 novembre 2024

Red Star FC – Grégory Poirier après l’ESTAC (0-3) : « On fait un pas en arrière dans notre progression »

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Après avoir enchaîné deux succès importants en Ligue 2, le Red Star FC est retombé dans ses travers ce vendredi 8 novembre 2024 et a chuté de nouveau contre un concurrent direct, l’ESTAC, qui passe devant le club audonien au classement par la même occasion ! 17e du général malgré la moyenne supérieure à un point pris par match, le club promu et champion en titre de National a coulé sur le score de 0-3 à Bauer, en ayant oublié certains principes que le coach Grégory Poirier pensait acquis… Découvrez sa conférence de presse après cette rencontre décevante, pour laquelle il ne cherche aucune excuse.


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« On a bien commencé, avec du rythme et de l’intensité dans les transmissions. Je pense qu’on n’a pas validé dans nos temps forts, on a manqué de verticalité aussi, il faut l’avouer. Dans le dernier geste, dans le timing de la dernière passe, on a manqué de tranchant. Du coup, on ne fait pas mal à l’adversaire et contre une équipe avec autant de puissance en transition, on s’expose. Ce qui est malheureux c’est que là où on avait été bons contre Martigues et Metz, c’est qu’on avait bien géré nos moments clés. Là, sur le but, ça nous déstabilise et ça nous fait mal à la tête juste avant la mi-temps. »

« On voit que c’est serré, très serré entre les équipes du bas du classement. Dès qu’on va perdre, on va regarder le classement en se disant « si on avait gagné »… À l’inverse, quand on gagnera, ça sera une vraie bouffée d’oxygène. Ce qui est dommage, c’est qu’on fait un pas en arrière dans notre progression. Sur le plan mathématique, je sais qu’on est capables de gagner des matchs. Mais il faut qu’on les construise beaucoup mieux, qu’on ait beaucoup plus de maturité. On est parfois trop joueurs, à un moment il faut qu’on se le mette en tête. Parce qu’on a gagné deux fois, on a oublié cette solidité, notre capacité à sentir qu’on peut être piégés, comme face à Laval. »

Photo Philippe Lecoeur/FEP/Icon Sport

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