Ludovic Obraniak : “Vous annonciez tous 3-0, 4-0, vous m’avez pris pour une trompette, au moins on remet les choses en place…” | OneFootball

« Oui, l’Equipe de France a eu les occasions. En tout cas, le début de seconde période était plutôt convaincant. Il y a eu un changement de stratégie, en ayant la volonté de chercher un peu plus haut, d’empêcher cette équipe de Pologne de relancer. Vous annonciez tous 3-0, 4-0, que vous m’avez pris pour une trompette, au moins on remet les choses en place… (rires). Mais le début de seconde période était plutôt convaincant de la part de l’Equipe de France, et on s’est dit que ça y est, le match est en train de basculer. Le pénalty est une faute grossière de la défense polonaise, on ne va pas se le cacher. Même Karim (Bennani) est capable de défendre sur Dembélé correctement. C’est une faute grossière. Mais en tout cas, on se disait, peu importe le flacon, on avait l’ivresse… On l’avait, et finalement, comme d’habitude, dès qu’on ouvre le score, on se met en protection, on garde le score… »

« C’est un peu tout, ce sont les trois entrées consécutives, les entrants qui n’ont pas été à la hauteur… est-ce que le management de Griezmann qui est un affectif et un sensible… Son entrée en dit long sur comment il a été affecté par cette non-titularisation. Tout le monde va dire ‘oui, c’est un professionnel, il doit réagir’. Au final, le problème de l’efficacité est encore récurrent. Sur trois matches de poule, tes seuls buts c’est un but contre ton camp et un pénalty ».

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