Le Real Madrid connaît le prix de Stiller, prêt à rejoindre la Casa Blanca | OneFootball

Stiller est dans le viseur du Real Madrid, qui cherche à renforcer son entrejeu après les différents départ. Le joueur de 24 ans, très apprécié par Xabi Alonso, figure parmi les options les plus sérieuses pour ce poste stratégique.

Angelo Stiller est au cœur des discussions internes au Real Madrid, alors que le club planifie sa reconstruction au milieu de terrain. Après les signatures d’Huijsen et Alexander-Arnold, la direction madrilène s’est fixée comme priorité de combler le vide laissé par Toni Kroos, retraité. Parmi les profils étudiés, Angelo Stiller s’impose comme une option crédible, tant par son profil tactique que par son potentiel de développement à moyen terme.

Mais le club madrilène n’a pas encore bougé officiellement. Selon AS, le Real Madrid n’a pris contact ni avec Stuttgart ni avec le joueur. De son côté, Stiller serait très enthousiaste à l’idée de rejoindre la Casa Blanca dès cet été. Son prix est fixé à 50 millions d’euros par Stuttgart, mais une clause fixée à 36 millions est prévue pour l’été 2026. Toutefois, le club allemand pourrait la neutraliser en versant 2 millions d’euros au joueur avant cette date.

Stiller, le profil ideal pour le Real Madrid

Angelo Stiller, formé au Bayern Munich, est arrivé à Stuttgart l’été dernier contre 5,5 millions d’euros. Il a rapidement explosé avec son club et en selection notamment et à la Ligue des Nations avec l’Allemagne. Son nom plaît à Xabi Alonso, qui l’a vu à l’œuvre en Bundesliga. Son agent, Volker Struth, était aussi celui de Toni Kroos, ce qui pourrait faciliter les négociations. Kroos, influent auprès de Florentino Pérez, pourrait même jouer un rôle dans la décision finale.

En parallèle, le Real Madrid garde un œil sur Martin Zubimendi. Même si Arsenal semble en pole position, la porte n’est pas complètement fermée. Le président de la Real Sociedad, Jokin Aperribay, a récemment déclaré dans AS : « Zubimendi est le seul joueur pour lequel nous avons eu des conversations (…). Nous savons qu’il a plusieurs options, mais il faut attendre. »