Jacques Vendroux : “C’est un des rares qui est aussi parti défendre Claude Bez quand il était en difficulté, un des rares qui est allé le voir en prison avec Didier Couécou” | OneFootball

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·21 giugno 2025

Jacques Vendroux : “C’est un des rares qui est aussi parti défendre Claude Bez quand il était en difficulté, un des rares qui est allé le voir en prison avec Didier Couécou”

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Sur Europe 1, Jacques Vendroux a évoqué l’ancien attaquant des Girondins de Bordeaux, Bernard Lacombe, disparu en début de semaine à l’âge de 72 ans.

« Cette génération, avec Alain Giresse, il y a un côté obsessionnel du football. Ils se réveillent le matin, ils parlent football, idem en allant acheter les journaux… Ils ne vivaient que pour ça. L’entrainement était pour eux un plaisir. Ils avaient besoin de tout ça. Il a joué avec des grands joueurs, donc il connaissait le haut niveau. Il a joué avec deux personnes qui ont été les détonateurs de son grand talent : Fleury Di Nallo, et Serge Chiesa. Ces deux garçons l’ont construit. Quand il est parti à Bordeaux, il est ensuite revenu des suites d’une superbe idée de Claude Bez à Jean-Michel Aulas. Claude Bez lui dit de prendre deux anciens, Raymond Domenech comme entraineur, et Bernard Lacombe comme manageur général. Il réussit un truc phénoménal que tout le monde connait. Dans tous les clubs où il est passé en première division, c’était des mecs qui s’aimaient, surtout à Bordeaux. Des mecs qui se respectaient, des mecs qui se voyaient en dehors. Ils avaient des rapports privilégiés. Je pense à René Girard, car c’était son ami, son confident. C’est un des rares qui est aussi parti défendre Claude Bez quand il était en difficulté, un des rares qui est allé le voir en prison avec Didier Couécou. Le football d’avant a des qualités extraordinaires : l’amitié, la fidélité, le respect… Les joueurs de Bordeaux, de Nantes, ou de Lyon, ils se revoient, ils s’embrassent ».

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