Equipe de France : cinq histoires méconnues sur la folle victoire de 1998 | OneFootball

L'équipe de France de football a remporté une victoire mémorable en remportant la Coupe du monde 1998. Retour sur cinq moments marquants de cette folle victoire avec des anecdotes dont certaines peu connues.

Le 12 juillet 1998, la France remportait sa première Coupe du monde de football, un événement gravé dans la mémoire collective. Derrière cette victoire historique se cachent des anecdotes peu connues qui révèlent la complexité et l'humanité de cette équipe légendaire.​

Une expulsion inattendue

Lors du deuxième match de la phase de groupes contre l'Arabie Saoudite, Zinédine Zidane est expulsé pour avoir marché sur un adversaire, devenant ainsi le premier joueur français à recevoir un carton rouge en Coupe du monde. Cet incident a suscité la colère de Didier Deschamps, capitaine de l'équipe, qui a exprimé son mécontentement à chaud avant de s'excuser par la suite.

Une blague avant la finale

Avant la finale contre le Brésil, Fabien Barthez simule une blessure au genou lors de l'échauffement, provoquant la panique de l'entraîneur des gardiens, Philippe Bergeroo. Ce geste, bien que risqué, illustre la capacité de Barthez à désamorcer la pression par l'humour.

Une réplique dans les vestiaires

Après la victoire en finale, Michel Platini félicite les joueurs dans les vestiaires en déclarant : « Il a fallu qu'on organise la Coupe du monde pour que vous la gagniez ! » Didier Deschamps lui répond avec humour : « Moi j’étais fait pour la gagner et toi pour l’organiser. »

Une célébration symbolique

Lors de la finale, Bernard Lama, gardien remplaçant, soulève son maillot pour révéler un t-shirt noir portant les dates « 1848 – 1998 », en référence au 150e anniversaire de l'abolition de l'esclavage. Ce geste discret souligne l'engagement personnel de Lama et ajoute une dimension symbolique à la victoire.

L'alerte de Karembeu

Quelques heures avant la finale contre le Brésil, Christian Karembeu a reçu un appel de son coéquipier au Real Madrid, Roberto Carlos, l'informant que Ronaldo avait subi un malaise. Karembeu a immédiatement prévenu Aimé Jacquet, qui a choisi de ne pas en tenir compte pour se concentrer sur le match.

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