Carine Galli : « Qu’on tape sur Lopez c’est normal, mais il faudrait taper sur ceux qui lui ont permis de racheter Bordeaux » | OneFootball

« Qu’on tape sur Lopez c’est normal, mais il faudrait taper sur ceux qui lui ont permis de racheter Bordeaux. C’est surtout ça. Ça a été validé. On en a parlé avec Monsieur Ferracci rapidement. Il avait eu un avis défavorable, il était allé sur le CNOSF etc et il a eu gain de cause. Mais ce sont ces gens-là qui nous doivent des comptes puisque Gérard Lopez, quand il arrive à Bordeaux il a déjà un passif énorme. Finalement la vente est validée et actée. Donc quand tu arrives à acheter un club comme ça alors que tu as autant de casseroles, il y a des gens qui finalement ont donné l’aval. Ces gens-là sont aussi responsables. Gérard Lopez en tête de gondole mais eux aussi. »

« Il a réussi à couler un club qui compte, et au-delà de ça, Boavista ce n’est pas dans le futur parce qu’il doit déjà des mois de salaires à pas mal de joueurs et d’employés aussi. Il n’y avait plus de kinés au club parce que les kinés n’étaient plus payés. »

« Que rajouter à ça ? C’est incroyable, sans démagogie aucune. Au-delà du sportif, parce que les joueurs de foot sont aussi des salariés, de qui on se moque éperdument. Ce qu’il se passe à Bordeaux, à Boavista, ce qu’il s’est passé à Mouscron, c’est une honte. Sur un point de vue sportif c’est dramatique. »

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