Girondins4Ever
·9 marzo 2025
Bruno Irles : « On a un plan de jeu, et après on oublie, on pense que ça va se faire comme ça. Et encore une fois, je le répète, non »

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·9 marzo 2025
En zone mixte et via Forever, l’entraineur des Girondins de Bordeaux, Bruno Irles, a répondu à la remarque que son équipe avait fait un bon premier quart d’heure avant de baisser le pied.
« Ouais, enfin, on aurait pu encaisser un but au bout de deux minutes, Saumur a une occasion… C’est un tout en fait. On a un plan de jeu. On voit dans ce plan de jeu quelques occasions qui marchent, et après on oublie, on pense que ça va se faire comme ça. Et encore une fois, je le répète, non. Il faut que déjà individuellement on soit très bien, et on ne l’a pas été. Et ensuite, ce côté collectif… On a gagné des matches parce qu’on a respecté le plan de jeu, on a gagné des matches parce qu’on travaillait tous ensemble, on s’arrachait tous ensemble, comme l’a fait Saumur. Il faut vite, vite qu’on retrouve ça ».
Le coach bordelais a également expliqué pourquoi il avait choisi d’aligner encore un milieu à trois.
« C’était par rapport aussi à nous, nos états de forme, divers et variés (sourire). Ce que les joueurs pouvaient aussi avoir en face sur le terrain. Tous ne pouvaient pas avoir 90 minutes, vous l’avez vu. S’il y a un point positif à sortir c’est que dans la gestion des temps de jeu, on n’a pas eu de blessés… Ces joueurs seront avec nous dans les semaines à venir, donc c’est bien »
Puis, il commenta la nervosité en fin de match de la part des joueurs bordelais, qui ne s’est pas matérialisé par une sanction.
« Il y a deux sortes d’énervement. Il y a l’énervement qui vient parce qu’on a envie, et ça c’est un bon énervement. Enfin, bon énervement, il ne faut pas sortir du match non plus. Et puis, il y a l’énervement qui vient parce que soit on n’est pas suffisamment bien, soit on ne joue pas suffisamment avec ses partenaires. Et puis, on voit que le match nous échappe… Franchement, même quand on prend le but, on se dit que oui, on est capables de le faire, et puis en fait non… »