ASSE : Le club agit après le scandale de Monaco ! | OneFootball

L’ASSE s’est inclinée 1-0 à Monaco en ouverture du championnat, samedi dernier. Une polémique a rapidement fait le tour des réseaux sociaux. Cela concerne les fouilles des supporters et supportrices stéphanoises au Stade Louis II. Le club stéphanois s’est expliqué publiquement à ce sujet.

Des fouilles qui font polémique

Après la rencontre a Monaco lors de la première journée, des supporters stéphanois ont fait part de leurs mauvaises expériences sur le rocher. En effet plusieurs suiveurs et suiveuses des Verts présents en principauté ont été victimes de fouilles abusives. L’ASSE a recensé une vingtaine de témoignages concernant l’attitude du personnel chargé d’accueilir les visiteurs à l’entrée du parcage du stade Louis II.

Une supportrice s’est d’ailleurs exprimée sur X à ce sujet en évoquant « des palpations plus que poussées des parties intimes, mains dans la culotte et le soutien-gorge pour certaines femmes… ». Au moins une policière est visée par ces accusations mais aucune plainte n’a pour l’heure été déposée. Le ministère des sports a également été informé dès faits produits ce samedi 17 août à Monaco.

L’ASSE et Monaco réagissent

L’ASSE par l’intermédiaire de Thomas Granger a réagi à ce sujet auprès de l’AFP. Le directeur de la communication explique notamment avoir signalé ces abus à l’AS Monaco ainsi qu’aux autorités monégasques. « Nous avons recueilli une vingtaine de témoignages concordants… le club s’est mis en lien avec l’AS Monaco et a demandé à la police monégasque de conserver les images de vidéosurveillance… Pour l’heure, l’ASSE n’est pas constituée partie civile mais elle le fera si des femmes portent plainte ou si des procédures sont engagées. »

Le club du rocher a également communiqué à ce sujet auprès de l’AFP en expliquant « avoir transmis cette information à la sûreté publique », et affirme « avoir toujours attaché une importance toute particulière à l’hospitalité. »

Une chose est sure les 2 clubs ne veulent pas en rester là et veulent