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·28 luglio 2025

"Après City, je vais arrêter", les confessions de Guardiola 💬

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Après près d'une décennie de succès sans précédent à Manchester City, Pep Guardiola a pratiquement confirmé son intention de se retirer de la gestion du football une fois que son contrat à l'Etihad Stadium prendra fin.

Lors d'un entretien prolongé avec GQ España, le technicien catalan a révélé :


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« Je sais que après cette étape avec Manchester City, je vais arrêter, c'est sûr, c'est décidé, plus que décidé. Je vais partir après cette étape avec Manchester City, parce que j'ai besoin de m'arrêter et de me concentrer sur moi-même, sur mon corps… »

Ce témoignage marque la plus claire indication à ce jour que Guardiola se prépare à quitter une profession qui l'a consommé pendant plus de deux décennies. Bien qu'aucune date de fin officielle n'ait été fournie, le ton de l'entretien — personnel, philosophique et parfois émotionnel — souligne le coût que l'entraînement de haut niveau a pris sur le Catalan.


Épuisement, réflexion et le prix du succès

Guardiola a ouvert son cœur sur l'intensité de son travail et la pression psychologique qu'il implique :

« Le travail d'un entraîneur est 24h/24, 7j/7. Sinon, vous ne pourrez pas y arriver. La pression sur vos épaules est énorme... Un ami m'a dit un jour que j'ai trois états en tant que personne : euphorique, déprimé et absent. Alors, l'idée est d'essayer de rester au milieu de ces états. »

Le manager de City a même plaisanté sur les conséquences physiques que son travail a eu sur lui :

« Comme je suis maintenant, j'ai 75 ans [rires]. Je suis un naufrage, tout me fait mal en ce moment… »

Et pourtant, même dans l'épuisement, Guardiola a exprimé un amour profond pour le jeu et les imperfections qui viennent avec :

« Je suis ravi d'avoir échoué. J'adore les échecs. Dans cette société où tout doit être parfait... oui, je suis triste, j'échoue et je perds. Alors ? Nommez-moi quelqu'un qui ne le fait pas. »


Sur les critiques, la pression et la perspective

Guardiola a abordé la critique unique que les entraîneurs font face — et comment il a appris à l'accepter :

« Il n'y a pas de profession — architecte, enseignant, médecin, journaliste — où 60 000 personnes veulent que vous perdiez votre emploi. Mais notre profession est si bien payée que nous pouvons accepter cela... »

« Si les choses vont mal, les gens commentent. Pourquoi ? Parce que c'est très émotionnel, pure adrénaline. C'est mon équipe contre l'équipe du voisin. Je vais rire d'eux si je gagne, ils riront de moi si mon équipe perd. »

Au lieu de résister à la critique, Guardiola la voit comme un privilège :

« Dans n'importe quelle spécialité, si vous aviez la chance d'être observé, jugé, admiré, louangé, critiqué de la même manière, vous seriez chanceux d'avoir la chance que nous avons dans notre profession. »


Un club à la croisée des chemins

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Guardiola a reconnu les difficultés récentes de City, y compris une saison qui n'a pas répondu aux attentes :

« Lorsque vous gagnez six championnats d'Angleterre, il vient un moment où vous allez en baisse. C'est la nature humaine. Nous aurions probablement dû bouger plus de joueurs... Mais il est très facile de le dire après coup. »

Il a continué :

« Les joueurs se blessaient beaucoup. Et vous vous demandez : Pourquoi se blessaient-ils autant alors qu'ils ne le faisaient pas avant ? Parce que le focus n'est plus sur ce que vous avez à faire. Lorsque le focus n'est plus sur ce que vous avez à faire, vous vous blessez plus. »

Malgré une troisième place en championnat et une finale de FA Cup, Guardiola a admis que la saison avait été humble :

« Cela vous remet à votre place... En parlant au nom de Manchester City, cela a été très sain pour nous. Le succès vous égare. »


Dernières pensées d'un homme prêt à s'en aller

Bien que Guardiola reste farouchement compétitif, l'attrait de la liberté personnelle devient de plus en plus fort :

« Il viendra un jour où je dirai : Assez, je n'ai plus envie de gérer les joueurs, les tactiques, les conférences de presse tous les trois jours, mon patron... Je dirai : Maintenant, je suis mon propre patron, je n'ai plus à régler mon réveil, je peux décider de ma propre vie. Un jour, j'arrêterai et je reviendrai plus tard, ou pas... »

Et pourtant, même avec la fin en vue, la motivation de Pep reste inchangée :

« L'important est de donner tout, de le faire bien. Je n'ai pas abandonné... L'année prochaine, je ferai mieux. C'est de cela qu'il s'agit. »


Héritage et route à suivre

Les paroles de Guardiola vont probablement provoquer des ondes de choc dans le monde du football — non seulement en raison de ce qu'il a représenté pour Manchester City, mais parce que son départ marquera la fin de l'une des périodes de gestion les plus influentes du football moderne.

Que Guardiola prenne un congé sabbatique, se retire définitivement ou revienne éventuellement sur le banc, une chose est claire : son départ de City laissera un héritage difficile à reproduire.

Cet article a été traduit en français par une intelligence artificielle. Tu peux lire la version originale en 🏴󠁧󠁢󠁥󠁮󠁧󠁿 ici.


📸 MOHAMED TAGELDIN