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·10 Juli 2025
Vous saurez tout sur les vacances de Laurent Nicollin

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·10 Juli 2025
Il faut savoir parfois prendre du recul et cet interview de Laurent Nicollin pour Hérault Tribune en offre pas mal. Sujet léger, le Président du MHSC s’exprimait sur ses vacances estivales et sa faculté à couper coup avec son quotidien :
J’aime bien partir à l’étranger, notamment au Canada ou aux États-Unis. Mais depuis le Covid, je n’ai pas fait de grands voyages. Sinon, on a une maison familiale à Palavas que l’on se partage avec mon frère. Cela fait plusieurs années que je prends mes congés en juillet, car le championnat reprend en août. Et puis, contrairement à ce que beaucoup croient, juin n’est pas un mois de vacances, même si la saison est terminée : il y a le budget à finaliser, le recrutement, l’organisation de la saison à venir…
Si je reste à Palavas, je ne déconnecte pas totalement. Mais j’essaie. Je vais prendre un peu de vacances cette année même si, avec la Ligue 2, il y a encore pas mal à faire. Il reste du recrutement, mais comme je suis sur place, un petit trajet en voiture et je suis à Grammont. (Lâcher prise?) Ce n’est pas compliqué. Tu poses ton téléphone dans un coin et tu vas marcher. J’achète la presse le matin, je prends le temps de la lire, et après le déjeuner, c’est presque un rituel : je mets le Tour de France en fond sonore et je fais la sieste. Entre les vagues, les enfants qui crient sur la plage, le Tour en bruit de fond, quelques cigales — même s’il n’y en a pas beaucoup à Palavas — ça suffit à me faire décrocher sans problème. Et puis, j’ai une certaine capacité à lâcher prise naturellement [sourire]. “
Encore plus léger, ses indispensables pour un moment de détente complet : “Mon iPad. Je joue, je lis. Et des claquettes pour l’après-midi. Le téléphone, je le pose, si y a un vrai problème, on appellera ma femme ! je vis ma vie sans problème. Je ne suis pas une rock star, et ce n’est pas ce que je cherche. Je veux simplement pouvoir faire mes courses tranquille, sans que personne ne me casse les couilles. Je vais en ville, je passe chez le boucher, je vais chercher mes légumes au rond-point à Palavas… Je vis normalement. “
Finalement, son monde ressemble plus ou moins au vôtre.