Ludovic Obraniak : “L’euphorie n’est pas aussi grande que la vôtre parce que ce lundi j’ai vu un match de piètre niveau et c’est l’équipe la moins mauvaise qui l’a emporté” | OneFootball

“Alors déjà, je suis divisé en deux parce que je suis franco-polonais. L’euphorie n’est pas aussi grande que la vôtre parce que ce lundi j’ai vu un match de piètre niveau et c’est l’équipe la moins mauvaise qui l’a emporté. Et on parle de la France et de la Belgique. On passe par la plus petite, petite, petite des portes, on n’a rien proposé. Je ne sais pas comment on peut aller… Le cas Griezmann, on le voit tout le match. C’est une hérésie de garder ce joueur-là. Soit tu décides de garder ton milieu à trois et tu sors Griezmann, soit tu décides de casser ton milieu à trois et tu rajoutes Griezmann à l’intérieur du jeu. Pendant une heure et demie, on jouait avec Griezmann à droite. Ne me demandez pas de sauter au plafond, je n’ai pas pris d’émotions sur ce match-là. Je n’ai aucune émotion qui m’a été procurée, ni dans le jeu, ni dans rien. Oui on est qualifiés, bravo. Je suis heureux pour vous (sourire).”

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