« Impact » et « percussion » : Félix Correia (LOSC), ses idoles et son profil | OneFootball

Déjà apparu à plusieurs reprises sous les couleurs du LOSC, Félix Correia possède un profil atypique, qu’il a d’ailleurs récemment décrit en conférence de presse.

Nouveau venu dans le Nord, Félix Correia a rapidement intégré le groupe de Bruno Genesio, disputant ses premières rencontres avant même d’être présenté aux médias locaux et nationaux. C’est ainsi qu’il apparaissait contre Dortmund (29 minutes), à Iserlohn, Côme en Italie (45 minutes) puis face au West Ham United FC (84 minutes) à Londres. Les supporters lillois ont pu profiter de ces premiers matchs pour le découvrir, son profil, ses qualités, ses défauts…

Un ailier percutant

Cette première impression, Félix Correia l’a détaillée lors de sa conférence de présentation, décrivant ses caractéristiques et ses préférences sur le pré :  « Je dois toujours évoluer, mais mon profil me permet de pouvoir jouer sur les trois postes de devant. Je suis droitier, mais ma position préférentielle est sur l’aile gauche. Mon parcours fait qu’aujourd’hui, je me sens beaucoup plus en confiance à ce poste. Je suis aussi ici par rapport au projet du club pour apprendre et évoluer dans une structure qui est magnifique. Pour moi, ça ne me pose aucun problème d’évoluer sur les trois positions de devant.

Ma qualité première, c’est d’être dans l’impact et dans la percussion. Je suis un joueur d’un-contre-un, c’est ce que je recherche le plus », confiait-il devant les médias.

Ses qualités, il les a travaillées en s’inspirant des ses grandes idoles : « Ce sont ceux qui m’ont amené ce déclic du travail, de l’abnégation et de l’effort. Je l’ai eu à la Juventus avec Buffon, Chiellini ou Cristiano, qui m’ont apporté cette vision du travail acharné. Ça m’a apporté ce respect des autres. Je suis amoureux du football depuis tout petit. J’ai toujours eu cette volonté de réussir. Je me retrouve ici pour pouvoir continuer à progresser et évoluer dans ce monde-là », a ainsi lancé Félix Correia. Ne reste plus qu’à lier les paroles aux actes.