Girondins : Le Gorafi tourne en dérision la descente aux enfers de Bordeaux | OneFootball

Le Gorafi, célèbre média satirique, vise une nouvelle fois les Girondins de Bordeaux dans une publication grinçante. Avec un humour noir, le site compare le destin du club, relégué en National 2 et en crise financière, à une "peine inhumaine" pour ses supporters. Retour sur cette publication qui résume la descente aux enfers des Marine et Blanc depuis 2021.

Le Gorafi ne manque pas l'occasion de souligner le chemin de croix que suivent tous les supporters des Girondins de Bordeaux depuis 2021 et l'arrivée de Gérard Lopez aux commandes du club. En 4 ans, le FCGB a chuté de la 1re à la 4e division avec une dette colossale et des finances exsangues. Chaque été de longues procédures se jouent, mettant toujours en péril l'avenir du club.

Le Gorafi dans une publication la semaine dernière, a titré : "Les auteurs de violences après la finale de Ligue des champions condamnés à devenir supporters des Girondins de Bordeaux"

"Les juges sont allés trop loin. Une peine de prison ferme aurait été plus juste et plus humaine"

Le journal satirique poursuit : "Suite aux violences commises dans la nuit du 31 mai en marge de la finale de la Ligue des champions, deux hommes ont été condamnés à huit mois et dix mois d’obligation ferme à devenir fans des Girondins de Bordeaux par le tribunal correctionnel de Paris. Trois autres personnes ont été condamnées à deux mois d’obligation de supporter les Girondins avec sursis. Du côté des avocats de la défense, on déplore un verdict d’une extrême sévérité. « Les juges sont allés trop loin. Une peine de prison ferme aurait été plus juste et plus humaine (...) « On est en 2025, un pays comme la France ne peut pas condamner des jeunes qui démarrent dans la vie à autant de souffrances."

Les supporters bordelais ne diront pas le contraire après cette publication humoristique.

Le club bordelais, en procédure de redressement judiciaire, n'est toujours pas assuré de jouer la saison 2025-2026 en National 2. Il attend le verdict du tribunal de commerce et de la DNCG le 24 juin prochain.

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