Gaétan Weissbeck : “Mon grand-père regarde tous mes matches, et depuis que je suis professionnel, je ne sais pas si une fois il a réussi à me dire que j’ai fait un bon match (rires)” | OneFootball

« J’ai commencé vraiment tôt, à quatre ans, dans mon village de 1500 habitants. Mon père était mon premier coach. J’ai vraiment appris les bases. Si c’est dur de se faire coacher par son père ? Au début, c’était particulier, car ce n’était pas lui l’entraineur. Je ne voulais plus aller au foot justement car je voulais que ce soit mon père mon premier entraineur. Il a décidé de reprendre l’équipe et c’est de là que j’ai vraiment pris goût au foot. Non, ce n’était pas difficile, il était plus dur avec moi qu’avec les autres, et au final c’est ce qui m’a permis de progresser et d’aller de l’avant ».

« Mon grand-père maternel était proche de faire une carrière professionnelle car il a fait une très belle carrière en amateur. Il a pris un club à bas niveau qu’il a monté de cinq ou six divisions. Il était joueur-entraineur pendant de très longues années. Et il est encore plus dur que mon père avec moi. Il regarde tous mes matches, et depuis que je suis professionnel, je ne sais pas si une fois il a réussi à me dire que j’ai fait un bon match (rires). Tout ce qui est bien il ne me le dit pas, et s’il y a des choses moins bien il va insister sur ça (sourire). Mais ce n’est pas plus mal, cela me permet aussi de progresser et d’aller de l’avant […] Mon grand-père paternel était aussi dans le foot. C’est vrai que c’est une histoire de famille… Mon père a joué, mes oncles ont joué au foot… »

Lihat jejak penerbit