Coupe du monde 2026 : le gros coup de gueule d'une star de Chelsea ! | OneFootball

La Coupe du monde des clubs sert aussi de répétition générale pour la Coupe du monde 2026. Et les conditions des matchs ne plaisent clairement pas aux stars du football européen...

À la veille de la finale de la Coupe du monde des clubs entre Chelsea et le PSG, Enzo Fernandez, le milieu argentin des Blues, pousse un véritable coup de gueule contre les conditions extrêmes auxquelles doivent faire face les joueurs, notamment la chaleur étouffante aux États-Unis. Pour lui, jouer sous de telles températures est non seulement « très dangereux », mais cela dégrade aussi la qualité du spectacle pour les supporters présents dans les stades et ceux qui regardent à la télévision.

« La chaleur est incroyable. L’autre jour, j’ai eu un léger vertige et j’ai dû m’asseoir par terre », a-t-il confié, témoignage brut qui en dit long sur la difficulté à gérer ces conditions extrêmes. « Jouer par ces températures est très dangereux, et évidemment, pour le spectacle, pour ceux qui viennent au stade pour en profiter et pour ceux qui regardent à la maison, le rythme n’est pas le même, ça ralentit tout », a-t-il insisté, soulignant combien la chaleur nuit au rythme du jeu et à la fluidité du football.

Des horaires et une chaleur impossibles à gérer

Depuis le début de ce tournoi, les matchs se jouent souvent sous un soleil de plomb, avec des températures caniculaires qui ont même poussé les organisateurs à instaurer deux pauses par mi-temps afin de permettre aux joueurs de se rafraîchir. Un vrai casse-tête, accentué par les horaires choisis : les rencontres sont programmées souvent à midi ou en début d’après-midi, horaires destinés à satisfaire les audiences européennes, mais peu compatibles avec des conditions optimales pour les athlètes.

Enzo Fernandez ne cache pas son inquiétude pour la Coupe du monde 2026, qui se déroulera aux États-Unis, au Mexique et au Canada, des pays où la chaleur peut être intense. « Espérons qu’ils changeront les heures de coup d’envoi pour que le spectacle soit meilleur », a-t-il lancé, pressant les organisateurs d’adopter des horaires plus adaptés, plus respectueux des capacités physiques des joueurs, et donc plus propices à un football de qualité.

Ce coup de gueule sonne comme un avertissement clair : au-delà du spectacle, il y a la santé des joueurs en jeu. Fernandez invite à repenser sérieusement l’organisation et les horaires des matchs afin d’éviter que la chaleur ne gâche le spectacle et mette en danger les athlètes.

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