Le Journal du Real
·28 Februari 2025
Cerezo salue Florentino Pérez avant une semaine importante pour l’Atlético Madrid
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·28 Februari 2025
Florentino Pérez a reçu des éloges inattendus de la part d’Enrique Cerezo. Le dirigeant madrilène s’est vu attribuer le statut de référence dans le football espagnol.
« C’est un grand président. C’est le meilleur que le Real Madrid ait eu dans son histoire. C’est un homme qui se bat pour son travail, son club et ses joueurs », a déclaré Cerezo sur l’émission El Partidazo de la radio COPE. Un discours qui dépasse la rivalité entre les deux clubs madrilènes.
Dans une saison où le Real Madrid reste en course pour tous les titres, tout comme les Colchoneros, Cerezo a insisté sur l’exemplarité de son homologue : « C’est ce que tous les présidents de ce pays devraient faire ». Une admiration publique qui souligne l’influence de Florentino Pérez sur le football espagnol, même chez les plus grands rivaux.
Interrogé sur l’avenir d’Antoine Griezmann, Cerezo a maintenu le flou : « Je ne sais pas ce qu’il pense, c’est l’emblème de l’Atlético, mais je doute qu’il veuille partir. Je n’ai pas parlé de cela avec lui ». Une déclaration qui laisse planer l’incertitude sur l’attaquant français, pourtant pilier du projet rojiblanco.
Le président a aussi encensé Julián Álvarez, recrue phare de l’Atlético : « Julián Álvarez est super bon, il passe 90 minutes à courir… Le Real Madrid le voudrait bien. C’est une idole pour les supporters ». Un message d’éloge pour l’argentin, qui ne manque tout de même pas de piquer l’éternel rival.
Quant au joueur du Real Madrid qui effraie le plus Cerezo, sa réponse semble évidente « Celui que j’aime le plus, c’est Mbappé, mais ils sont tous magnifiques ». Un véritable match dans le match entre les deux buteurs mardi prochain.
Enfin, le président de l’Atlético a dénoncé les polémiques arbitrales des dernières semaines, pointant du doigt la technologie, plus que les arbitres :
« Tout est un peu dépassé avec les arbitres, ils ne se sont ni améliorés ni ont régressé. Leur problème, c’est un outil qui ne fonctionne pas bien, le VAR. Parfois, il voit des choses qu’il ne voit pas bien. Quand le VAR n’intervient pas, il n’y a aucun problème ». Une sortie qui relance long débat sur l’arbitrage en Espagne.
Edgar Yon