Bordeaux : un nouveau club de Gérard Lopez a coulé, catastrophe officielle ! | OneFootball

Tandis que les Girondins de Bordeaux sont loin d'être sortis de leur marasme, un autre club détenu par Gérard Lopez, mythique dans son pays, vient de couler de manière officielle...

C’est un nouveau naufrage dans l’orbite de Gérard Lopez. Après l’Excelsior Mouscron disparu des radars belges et les Girondins de Bordeaux relégués en National 2, c’est au tour du Boavista FC de sombrer. Le mythique club portugais, également propriété de l’homme d’affaires hispano-luxembourgeois, ne jouera même pas en deuxième division l’an prochain… ni en troisième… ni en quatrième !

C’est en cinquième division, l’équivalent portugais de notre National 3, que Boavista repartira. Une chute vertigineuse pour un club qui évoluait encore en première division il y a à peine quelques semaines.

Boavista doit repartir en cinquième division !

Boavista, lanterne rouge de Liga Portugal à l’issue de la saison 2024-2025, avait déjà été sportivement relégué en D2. Mais le pire était à venir : faute de garanties bancaires déposées à temps — malgré un virement annoncé de 2,5 millions d’euros de Gérard Lopez — le club n’a pas obtenu sa licence pour la Liga 2. L’argent n’était pas arrivé à temps sur les comptes du club, et le couperet est tombé. Refus d’engagement en D2, refus d’engagement en Liga 3, même échec pour la quatrième division. Verdict final : Boavista en district.

Un échec cuisant de plus pour Gérard Lopez. Le président des Girondins de Bordeaux semble incapable d’enrayer la spirale de déclin de ses clubs. Mouscron a disparu, Boavista s’effondre, et Bordeaux végète en National 2. Si le LOSC, ancien club de Lopez, tient bon en Ligue 1, il semble aujourd’hui être le seul rescapé d’un modèle qui s’effondre.

Pour Boavista, la Fédération portugaise a tranché : sans les documents financiers exigés, impossible de rester dans le monde professionnel. Le club a trois jours pour faire appel, mais le mal est fait. Du statut historique à la relégation administrative, Boavista vit une descente aux enfers qui n’est pas sans rappeler celle de Bordeaux.

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