Le Journal du Real
·28 September 2024
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·28 September 2024
« Chaque jour qui passe, tu en as un de moins à revenir et je vais essayer de revenir encore plus fort que je ne l’étais. Je veux être fort et pouvoir aider l’équipe le plus vite possible », a déclaré Brahim Díaz vendredi, comme l’a rapporté MARCA.
Un coup d’arrêt difficile pour lui, comme il l’a expliqué, car il avait bien débuté la saison. Bien qu’il n’ait pas disputé de matches de façon intégrale, le Marocain a été bon à chaque fois qu’il a été utilisé par Carlo Ancelotti. Et, quand on connaît l’importance de la rotation pour le technicien italien, Brahim Díaz s’avère un rouage nécessaire au bon fonctionnement des Madridistas.
« L’accepter était la première chose. Après deux ou trois jours, il fallait se lever, travailler et se concentrer pour revenir le plus vite possible. C’est le pire du football, les blessures. C’est difficile… Dans mon cas, cela vous fait arrêter et vous ne vivez pas votre passion », a détaillé Brahim.
À l’image de Thibaut Courtois la saison dernière qui a tout donné pour revenir le plus vite et en meilleure forme possible, le n°21 du Real Madrid semble suivre cette voie avec l’idée que la détermination va payer. Cela ne l’empêche pas de se montrer patient afin d’attendre son heure, même si c’est quelque chose de très difficile à vivre. Et, vendredi, il a été invité pour témoigner de son histoire de sportif de haut niveau – les blessures faisant partie intégrante de la vie d’un athlète.
« À 16 ou 17 ans, je pensais avoir tout. Mais la clé de mon succès a été la patience. J’essaie de profiter de chaque opportunité que j’ai. »
Enfin, malgré les attentes générées autour de lui, car il est vraiment important au sein de ce Real Madrid, Brahim Diaz a la tête sur les épaules et nul doute qu’il reviendra encore plus fort. « Être dans le meilleur club du monde vous amène à être très exigeant. Et avoir de la pression est une bonne chose, car cela signifie qu’il n’y a pas de plafond et qu’ils attendent beaucoup de toi. »
Eliott Lafleur.