AS Saint-Etienne - Stade rennais : Olaigbe et Al-Tamari, deux nouveaux profils d’attaque | OneFootball

Tout comme Kyogo Furuhashi, Kazeem Olaigbe et Mousa Al-Tamari sont venus renforcer une attaque rennaise désormais armée de différents profils. Très actif sur le marché des (…)

Tout comme Kyogo Furuhashi, Kazeem Olaigbe et Mousa Al-Tamari sont venus renforcer une attaque rennaise désormais armée de différents profils.

Très actif sur le marché des transferts cet hiver, le Stade rennais s’est surtout renouvelé dans un secteur, celui de l’attaque. Avec quatre départs (Amine Gouiri, Albert Gronbaek, Henrik Meister et Jota), le SRFC a dû se renforcer et a attiré trois éléments aux caractéristiques bien différentes, rejoints par Mohamed Kader Meité, venu du centre de formation.

Le premier arrivé a déjà été vu dimanche face à Strasbourg. En provenance du Celtic Glasgow, Kyogo Furuhashi évolue depuis deux semaines en Bretagne déjà, et a joué son premier match, loin d’être une réussite. Sept ballons touchés en une heure, mais une activité appréciable dans les courses et le pressing, pour gêner la première relance axiale du Racing. Le Japonais a été rejoint lundi par deux nouveaux éléments « différents » selon Habib Beye.

Olaigbe en détonateur, Al-Tamari en polyvalent

Arrivé du Cercle Bruges après un parcours sinueux, Kazeem Olaigbe incarne ce que le Stade rennais n’avait plus eu depuis un bon moment, et Jérémy Doku : un ailier percurant. « Kazeem peut évoluer à l’intérieur sous l’attaquant et côté ligne, qui a une grande faculté de vitesse, à percuter, de connexion avec les autres. C’est un joueur de rupture », confie Beye au sujet de l’international espoir belge de 22 ans. « Je parlais de mettre ces joueurs là rapidement en un contre un, Kazeem correspond à ça ».

L’autre recrue est elle davantage connue en Ligue 1. Titulaire à Montpellier, Mousa Al-Tamari connait le championnat de France, et est « un immense talent » pour son nouveau coach. « C’est un joueur pour moi qui a des énormes capacités de dribbles, de finition, de vitesse. Il nous offre plusieurs options. Il est capable de faire mal à l’adversaire dans la profondeur si on en a un peu. Dans les petits espaces, il peut combiner avec les autres. Et c’est surtout un garçon qui arrive avec le sourire au centre d’entrainement, et qui est contagieux pour les autres. J’aime ces joueurs rayonnants qui aiment le foot, jouer au foot, et sont simples à manager ».

Habib Beye dispose donc d’éléments aux caractéristiques différentes pour cette fin de saison avec Kalimuendo, Blas, Furuhashi, Olaigbe, Al-Tamari, Meité, mais aussi Ayanda Sishuba. De quoi amener de la concurrence pour les 14 matchs qu’il reste au Stade rennais, uniquement engagé en Ligue 1. Beye a évolué à trois attaquants pour sa première, mais sourit lorsqu’on lui parle de système. « Je peux même en mettre six, de temps en temps ». Numériquement en tout cas, c’est possible.