Xavi assure que le Barça a été « meilleur » que le PSG

Parisfans.fr

·25 avril 2024

Xavi assure que le Barça a été « meilleur » que le PSG

Une semaine après la qualification en demi-finale de Ligue des Champions face au FC Barcelone, le Paris Saint-Germain est toujours sur petit nuage et continue de voir la vie en rose … ou du moins en rouge et bleu. Son adversaire européen ne semble toujours pas s’être remis de la claque reçue sur leur terre et son entraineur Xavi continue de donner de la voix pour se rassurer et protéger ses joueurs, comme il l’a fait lors de la conférence de presse liée à sa prolongation d’un an sur le banc blaugrana.

« Sur le plan tactique, nous étions meilleurs que le PSG, tant à l’aller qu’au retour. Après l’expulsion de Ronald (Araujo), nous aurions dû plus rivaliser. Mais cela fait partie du processus. C’est très dur de gagner, gagner, gagner. Nous le staff et les joueurs, nous avons beaucoup appris. La saison prochaine, nous serons plus en mesure de rivaliser » « J’ai le sentiment que l’équipe s’est beaucoup améliorée. Il y a deux ans, on avait l’impression que nous n’étions pas à la hauteur face à des adversaires de haut niveau. Aujourd’hui, je pense que nous sommes en mesure de rivaliser avec eux. Je pense que nous avons raté le coche à cause de détails. J’ai hâte de me préparer et d’essayer à nouveau. »

L’Espagne est-elle devenue la nouvelle Belgique ? A l’aller , Barcelone avait gagné sur l’efficacité, dont des erreurs individuelles du PSG. Au retour, à onze contre onze, le Barca avait eu deux contres à se mettre sous la dent, le PSG avait dominé les quinze premières minutes (sauf pour le but à la 13ème évidemment). À dix contre onze, le FC Barcelone n’a pas existé et leur force collective s’est délité au fil des minutes, laissant le PSG filé en demi-finale.

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Après avoir un temps annoncé son départ, l’entraineur espagnol des « Culés » a finalement prolongé d’une saison. Sa direction a sans doute aimé son cinéma sur l’arbitre pour protéger ses joueurs d’une correction médiatique. Avec l’arbitrage, c’est un bouc-émissaire tout trouvé et une dramatique comparaison évitée.