Will Still : «Les joueurs sont les premiers frustrés» | OneFootball

Après la défaite de Lille la semaine, le Racing Club de Lens s’est de nouveau incliné, cette fois au Parc des Princes contre le PSG (1-0). Le RC Lens a été souvent dominé, réduit à 10 plus d’une demi heure de jeu, mais s’est produit quelques occasions.

Le RC Lens a été cueilli à froid au Parc avec un but d’Ousmane Dembele après quelques minutes de jeu. Ensuite, il a joué 35 minutes en infériorité numérique à la suite de l’exclusion d’Abdukodir Khusanov. « C’est encore une défaite avec des faits de jeu, des détails en notre défaveur. Il faut travailler pour avoir plus de contrôle », introduit Will Still.

Ensuite, l’entraîneur est revenu sur le but du début de match. « C’est une touche défensive, on laisse une distance trop grande, c’est rageant de prendre un but sur une telle phase », lance le coach avant de souligner la deuxième période de son équipe : « Il y a du positif, notamment dans la deuxième période avec un meilleur contenu. On les a moins regardés, il y a eu plus de personnalité. On a été réduit à 10, ça n’a pas été excellent mais c’est meilleur que la première période. Face à ce genre d’adversaire, on sait qu’on doit être très bon face à une belle équipe en face. Tout ce que tu entreprends doit être parfait. Au final, on n’a pas été très, très bon sur une longue séquence de match. »

Travailler la finition

Malgré la domination parisienne, les Sang et Or se sont procurés des occasions avec 13 frappes, mais seulement deux cadrés. « Il faut continuer. Taper sur le clou. Il faut faire prendre conscience qu’il y a beaucoup de qualités, les joueurs sont les premiers frustrés. Il n’y a pas de recette miracle, pas de changement à faire. On arrive à se créer ces situations, à se les procurer. Maintenant, il faut être plus serein dans l’état d’esprit, on ne l’est pas encore », analyse Will Still

Cependant et malgré cette défaite, Will Still trouvait du positif à l’issue de la rencontre : « Il y a des choses positives. On se crée des situations, on presse. À 10, on fait rentrer deux joueurs offensifs et on se crée des occasions, c’est positif. Il faut travailler. »

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