Vladimir Petkovic : “Si c’est la bascule sélectionneur-entraineur qui est compliquée à négocier ? C’est peut-être une raison, c’est possible, mais je ne veux pas d’excuses” | OneFootball

Vladimir Petkovic : “Si c’est la bascule sélectionneur-entraineur qui est compliquée à négocier ? C’est peut-être une raison, c’est possible, mais je ne veux pas d’excuses” | OneFootball

Icon: Girondins4Ever

Girondins4Ever

·4 décembre 2021

Vladimir Petkovic : “Si c’est la bascule sélectionneur-entraineur qui est compliquée à négocier ? C’est peut-être une raison, c’est possible, mais je ne veux pas d’excuses”

Image de l'article :Vladimir Petkovic : “Si c’est la bascule sélectionneur-entraineur qui est compliquée à négocier ? C’est peut-être une raison, c’est possible, mais je ne veux pas d’excuses”
Image de l'article :Vladimir Petkovic : “Si c’est la bascule sélectionneur-entraineur qui est compliquée à négocier ? C’est peut-être une raison, c’est possible, mais je ne veux pas d’excuses”

En conférence de presse, Vladimir Petkovic a confirmé que la Ligue 1 était un peu à l’opposée de ce qu’il aime inculquer à ses équipes. Notre championnat est effectivement plus basé sur la transition que la possession.

« Je suis d’accord, la Ligue 1 a plus un football de transition que de possession. C’est quelque chose que je connaissais déjà, et j’en ai eu confirmation. Il y a des moments différents dans un match, et spécialement vers la fin de chaque rencontre, où l’intensité et la tension descendent. C’est pour ça que dis qu’il faut parfois faire deux pas en arrière pour mieux avancer ensuite. C’est un football très puissant, plus orienté vers l’Angleterre plutôt que vers l’Allemagne ou l’Italie par exemple. Si c’est quelque chose que je regrette ? Non, il faut l’accepter, c’est moi qui suis arrivé ici, c’est à moi de m’adapter et faire le mieux que je peux avec les joueurs dont je dispose »

Le coach des Girondins de Bordeaux, toujours sur le registre des difficulté de son équipe, a également répondu favorablement au fait que la transition entre le poste de sélectionneur et celui d’entraineur n’était pas également évident. Un temps d’adaptation aussi pour lui ?

« Je n’ai pas fait d’échauffement, moi (rires). Je suis rentré à la 15ème minute, et parfois je manquais de souffle (sourire) […] Si c’est la bascule sélectionneur-entraineur qui est compliquée à négocier en ce moment ? C’est peut-être une raison, c’est possible, mais je ne veux pas d’excuses. Je veux juste travailler avec l’équipe et sortir de cette situation ».

À propos de Publisher