Vinicius : "Je dois parler avec mon président" | OneFootball

Élu meilleur joueur du match face à Manchester City, Vinicius Junior s'est exprimé après la rencontre et il a évoqué son avenir.

En zone mixte de l'Etihad Stadium, Vinicius Junior a pris le temps de répondre aux questions des journalistes et pour la première fois, il a véritablement évoqué son avenir sujet à quelques rumeurs en Espagne avec la folle rumeur notamment qui le lie à l'Arabie Saoudite.

Le tifo provocateur des fans de City : "Je l'ai vu oui, mais quand les fans adverses font des choses comme ça, ça me donne plus de force pour faire un grand match et je l'ai fait aujourd'hui. Ils connaissent notre histoire, tout ce qu'on a accompli dans cette compétition. C'est la cinquième fois qu'on vient ici, il fait toujours froid mais cette fois, on a gagné."

Son match : "C'était pas mal. J'ai pu faire un grand match et on a très bien défendu. Peu importe qui marque ou est le MVP du match, nous sommes ici pour faire de grandes choses avec ce maillot et placer le Real Madrid au sommet."

Le but de Mbappé : "Le plus important c'était de gagner, peu importe la manière. Sur le dernier ballon, je voulais tirer et ça s'est transformé en passe pour Jude."

La suite : "Il reste encore beaucoup à faire au retour. On doit défendre comme on l'a fait aujourd'hui et que nos fans soient à nos côtés pour vivre une belle fête."

Les cartons : "C'est parfois compliqué, les arbitres ne défendent pas les joueurs qui prennent des coups. Quand ça arrive, c'est moi qui prend un carton. Les coéquipiers, les coachs m'aident à rester concentré. Je ne suis pas un sain mais je veux gagner, peu importe la manière."

L'offre de l'Arabie Saoudite : "Je n'en sais rien non plus (rires). Personne n'a parlé avec moi et je dois parler avec le président. J'espère pouvoir rester longtemps et rester longtemps au Real Madrid. C'est très enthousiasmant d'ouvrir les négociations avec le club pour ma prolongation. J'ai un contrat jusqu'à mes 27 ans mais j'ai toujours dit que je voulais rester ici longtemps. Si Dieu le veut, les négociations seront réglées dans quelques jours et je pourrai rester ici plus longtemps."