Peuple-Vert.fr
·20 octobre 2021
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Dans Le ProgrĂšs, JĂ©rĂŽme de Bontin donne une indication sur ce qui participe Ă freiner la vente du club : "Des investisseurs sâintĂ©ressent au rachat de lâASSE mais il faudra que le prix soit juste et que les propriĂ©taires actuels acceptent une fois pour toutes de se retirer totalement pour quâune transaction soit envisageable."
En dĂ©finitive, le produit peut sĂ©duire mais l'acheteur ne le surpayera pas. Dans ce contexte, Norodom Ravichak serait en train de jeter l'Ă©ponge... En effet, depuis 3 semaines la presse annonce un retrait de Ravichak "dans les tous prochains jours" ! A force de l'annoncer, et si le Prince Cambodgien n'est pas le futur prĂ©sident du club, il y aura en effet bien un moment oĂč il faudra acter qu'il se retire... En attendant il est toujours lĂ , au mĂȘme titre que Markarian ou Terrapin Partners.
La volontĂ© des actionnaires est de vendre au mieux leur produit, et c'est pourquoi on s'agite en coulisse afin de redonner des couleurs aux stĂ©phanois qui sont Ă ce jour bons derniers de Ligue 1 et engluĂ©s dans une crise de rĂ©sultats presque sans prĂ©cĂ©dent. Jean-François Soucasse prĂ©sidait ce lundi une rĂ©union oĂč Claude Puel avait Ă©tĂ© invitĂ© Ă participer. Il n'y a pas Ă©tĂ© question de l'avenir du manager gĂ©nĂ©ral des Verts. D'ailleurs, ni Roland Romeyer, ni Bernard CaĂŻazzo n'y ont participĂ©. La panique extĂ©rieure semble se vivre dans le calme en interne, et Claude Puel sera toujours sur le banc des Verts ce vendredi, sauf cataclysme !
Du cĂŽtĂ© des actionnaires, si Roland Romeyer se fait aussi discret que Bernard CaĂŻazzo dans la presse, cela n'empĂȘche pas le second de se dĂ©mener pour trouver l'oiseau rare, celui qui voudra bien Ă©lire domicile dans le nid stĂ©phanois. La recherche s'oriente vers un milliardaire, un homme ou une femme dont les moyens permettront Ă l'ASSE d'exister Ă nouveau sur l'Ă©chiquier français, mais Ă©galement europĂ©en... Nous avons tous hĂąte ! En attendant, les Verts joueront encore leur survie ce vendredi face Ă Angers, car il est bien question de survie pour un club qui a dĂ©jĂ plus d'un pied en ligue 2.
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