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·12 août 2022

VAFC : Nicolas Rabuel raconte sa nouvelle vie d’entraîneur

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Nommé en juin dernier pour succéder à Christophe Delmotte à la tête de l’équipe première du VAFC, Nicolas Rabuel est revenu sur ses débuts en tant qu’entraîneur principal du VAFC. Après deux journées disputées, il est tant pour le coach de faire un premier bilan de sa nouvelle expérience.

Comment vivez-vous vos premières semaines sur un banc de Ligue 2 ?

C’est plaisant ! Ce qui est surtout plaisant, c’est surtout la force autour de moi, avec le staff, les dirigeants, le staff médical. Quand tu es entraîneur principal, il y a ce qu’il se passe sur le terrain mais aussi tout ce que tu dois manager autour. Encore une fois, quand tu as les hommes avec toi, c’est plus simple. Je suis très content du poste, des hommes qui m’accompagnent.


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Est-ce radicalement différent qu’être entraîneur de National 3 ?

Les enjeux sont différents. Le mangement est aussi différent. Chez les jeunes, ils aspirent à passer chez les professionnels. Une fois chez les professionnels, ils sont plein à aspirer à mieux. Ils veulent avoir du temps de jeu, pour certains aller en Ligue 1. Quand on est entraîneur, éducateur, il faut les accompagner individuellement dans leur projet.

Ressentez-vous un peu plus de pression ?

Forcément, oui. Maintenant, ça fait 35 ans que je vis avec la pression, depuis que j’ai commencé le football. Je suis jeune dans le métier mais j’ai l’expérience du milieu qui me permet de relativiser les choses. On fait un métier passionnant, il y a plus malheureux que nous. La pression est plus un booster qu’autre chose.

D’où vient cette pression ?

C’est une exigence qu’on se met au quotidien pour faire avancer les joueurs individuellement et faire avancer le collectif. Jusqu’ici tout va bien. J’ai été élevé sans me plaindre, en essayant de toujours voir les choses positives dans la vie. On avance.

C’est aussi une année particulière parce que vous passez le BEPF en même temps…

J’ai déjà eu trois sessions et j’y retourne justement la semaine prochaine, de lundi à jeudi. Ca faisait partie des éléments quand j’ai pris l’équipe. On a mis les choses cartes sur table avec la direction, c’est aussi pour ça qu’il y a eu des ajustements dans le staff, avec la volonté d’avoir un adjoint supplémentaire pour combler certaines semaines d’absence. Oui je préfère être avec le groupe mais je connaissais les règles du jeu dès le départ. Je vais aussi aller dans des clubs, rencontrer des coaches, des dirigeants, avoir des séances sur les terrains avec les équipes de jeunes où on va. Il y a eu Lens et Lyon, on va aussi aller à Troyes, Auxerre, au PFC. On s’enrichit de tous ces échanges.

Propos recueillis par Arthur Lasseron

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