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Lucas Hybord·11 août 2023
Tout ce qu'il faut savoir sur la nouvelle saison de L1 🔥

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Lucas Hybord·11 août 2023
La Ligue 1 reprend ses droits ce vendredi avec la rencontre entre Nice et Lille. Cette saison 2023-2024 s’annonce tout particulière avec moins d’équipes, de nouvelles règles mais aussi de nouvelles qualifications européennes possibles.
Pour la première fois depuis la saison 2001-2002, seuls 18 clubs s’affronteront en première division, et non 20. On passe donc de 38 à 34 journées de championnats et 306 matches au total. Il n’y aura plus que trois matches lors du multiplex du dimanche après-midi, contre quatre la saison dernière.
Avec la réforme de la Ligue des champions, qui entrera en vigueur en 2024-2025, la Ligue 1 pourrait obtenir quatre places pour la plus prestigieuse compétitions européennes. Mais au début de cette saison, ce n’est pas encore le cas, puisque les Pays-Bas sont actuellement devant la France à la cinquième place UEFA. Il faudra donc compter sur les Européens de la saison 2023-2024 (Paris, Lens, Marseille, Rennes, Lille et Toulouse) pour aller chercher des victoires et des points.
Si et seulement si la France repasse devant les Pays-Bas, alors les trois premiers de Ligue 1 iront directement en phases de groupes de C1, tandis que le quatrième disputera les barrages (deux tours). Le club classé cinquième et le vainqueur de la Coupe de France iront en Ligue Europa, et le sixième en barrages de Ligue Europa Conférence.
Retour des barrages pour le maintien / la montée entre la Ligue 1 et la Ligue 2. Les équipes classées 17e et 18e seront relégués en division inférieure, et le 16e disputera un match aller retour contre une équipe de L2 pour le dernier strapontin de L1.
Sous l’impulsion du nouveau d’Antony Gautier, nouveau directeur de l’arbitrage français, les hommes en noir auront notamment pour consigne de ne pas siffler les micro-contacts et donc de plus laisser jouer.
Concernant les mains dans la surface, pas de révolution mais une directive pour leur interpretation. « Cette saison, on met le focus sur l’aspect biomécanique. L’arbitre devra juger si « l’augmentation artificielle de la surface corporelle avec le bras ou la main » (loi 12) est la conséquence d’un mouvement naturel du corps ou non, » a expliqué Stéphane Lannoy, directeur technique en charge de l’arbitrage professionnel, à L’Équipe.
Enfin, le temps additionnel devrait s’allonger un peu avec la prise en compte des célébrations de buts et le temps lié à l’exécution d’un penalty.
Photo Getty.