Textor mise sur l'OL et Crystal Palace pour séduire Bruno Lage à Botafogo | OneFootball

À la recherche d’un entraîneur pour Botafogo, John Textor compte sur Eagle Football pour convaincre Bruno Lage. Le patron américain aurait laissé miroiter un poste sur le banc de l’OL ou Crystal Palace en cas de titre du club brésilien avec l’entraîneur portugais.

Il n’y a pas qu’à l’OL que c’est le chantier. À plusieurs milliers de kilomètres de la capitale des Gaules, Botafogo a, lui aussi, connu un vrai séisme il y a quelques jours. Face à la cour assidue de l’Arabie Saoudite, Luis Castro n’a pu résister aux sirènes et aux millions d’euros offerts par Al-Nassr. Un coup dur pour Botafogo alors que le coach portugais avait réussi à créer quelque chose cette saison avec la première place du club carioca au classement.

Finalement, Claudio Caçapa a été appelé à la rescousse et a signé son premier succès, vingt-quatre heures après son arrivée à Rio de Janeiro. Coach intérimaire, il n’écarte pas la possibilité de prolonger son aventure malgré le contrat qui le lie avec l’OL. Seulement, la priorité de John Textor ne se situe pas vraiment au niveau du Lyonnais, bien qu’il ait salué sa première, mais bien sur Bruno Lage.

Une synergie également sur les bancs de touche ?

Encore un technicien portugais pour Botafogo même si rien n’est encore acté. L’ancien coach de Wolverhampton est sans club depuis son éviction du club anglais en octobre dernier et John Textor tenterait de l’amadouer selon les informations d’UOL Esporte. Souhaitant ardemment Lage pour mener Botafogo vers un titre de champion, Textor aurait laissé planer la possibilité au Portugais de voir le club carioca comme un moyen de rebondir et un tremplin.

D’après les informations venues du Brésil, entraîner Botafogo avec succès pourrait permettre à Bruno Lage de rejoindre ensuite l’une des deux autres formations d’Eagle Football, à savoir l’OL ou Crystal Palace. Deux clubs dont les coachs seront en fin de contrat à l’issue de la saison 2023-2024. Et si la synergie ne s'arrêtait pas simplement aux joueurs, mais aussi aux coachs ? L'exemple Caçapa en a été la première esquisse.