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·4 mars 2022
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·4 mars 2022
De nouveaux rebondissements dans l’affaire de la SuperLeague. Jeudi 3 mars, le président de la Juventus de Turin avait évoqué la possible renaissance de cette ligue quasi-fermée lors d’un sommet sur le football organisé par le Financial Times. Alors que l’Inter Milan faisait parti des 12 puissants clubs européens fondateurs, l’équipe italienne aurait finalement décidé de s’en éloigner.
Annoncé par le média espagnol, la Cadena COPE, puis confirmé par AS, l’Inter Milan, présidé par Steven Zhang, n’est plus sous contrat avec la SuperLeague. Seul à disposer d’une clause contractuelle, qui lui permet de partir en cas de désaccord avec les sponsors notamment, le club milanais n’a pas exprimé pour l’instant les raisons du départ.
Le président de la Juventus de Turin et vice-président de la SuperLeague s’est exprimé sur le retour au premier plan du projet (propos rapportés par Sky Italia).
“La Super League n’a pas échoué. A mon avis, le football européen a désespérément besoin de réformes. L’UEFA savait que moi, en tant que président de la Juventus, je travaillais sur quelque chose de différent. La SuperLeague est un travail collectif de 12 équipes, pas seulement d’une personne. 12 clubs ont signé un contrat de 120 pages et 11 d’entre eux sont toujours liés à ce contrat. Le compromis n’est plus un choix, nous avons besoin de réformes plus profondes.”
Des propos qui relancent des tensions avec l’UEFA, organisatrice de la Ligue des Champions. Le président de l’UEFA, Aleksander Čeferin, ainsi que celui de la Liga (ligue espagnole), Javier Tebas, ont vivement critiqué ces paroles. 11 clubs sont donc pour l’instant toujours liés au projet : six équipes anglaises (Manchester United, Manchester City, Liverpool, Tottenham, Arsenal et Chelsea), trois clubs espagnols (Real Madrid, FC Barcelone et Atlético Madrid) et enfin deux clubs italiens (Juventus de Turin et AC Milan).
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