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·28 janvier 2025
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Mercredi, dans le cadre de la 8e journée de la phase de ligue de la Ligue des Champions 2024-2025, le Paris Saint-Germain (22e) affrontera Stuttgart (24e) à la Mercedes-Benz Arena (coup d’envoi à 21h, diffusion sur Canal+). A la veille de cette rencontre, le coach parisien Luis Enrique a répondu à plusieurs questions en conférence de presse.
Vous êtes à l’abri d’une déconvenue demain compte tenu de la force de votre équipe en ce moment ?
Je suis aussi calme que d’habitude pour un match de Ligue des Champions, c’est à dire pas du tout. Mais on est préparé pour ce nouveau format avec des surprises, je suis prêt pour un match face à un adversaire qui joue très bien au football.
Le match contre City a amené quelque chose de nouveau ? Cela permet d’avoir une continuité ou il y a toujours une remise à 0 ?
Vous avez un sentiment très différent de moi. Vous regardez plutôt les résultats, pas moi. Je dirais que lors tous les matchs de Ligue des Champions à domicile nous méritions de gagner. Il y a eu une continuité, même s’il a manqué de l’efficacité.
Mais dans le football, si on n’est pas efficace c’est difficile de gagner des matchs. Mais nous sommes sur le même chemin que le reste de la saison. J’ai vu du positif dans tous les matchs, même si nous n’avons pas les points que nous devrions avoir.
Le match nul suffirait aux deux équipes, mais vous attendez une victoire ?
L’expérience me dit que si quelqu’un dépend de ce qui se passe en dehors, alors il n’est pas assez concentré, déterminé, sur ce qu’il a à faire sur le terrain. Nous ne penserons pas à ce qui peut se passer autre part.
On va essayer de gagner ce match et prendre des points, améliorer notre classement. C’est l’objectif. Il y a beaucoup de choses possibles sur cette journée, mais nous n’y penserons pas.
Vous êtes satisfait de la manière dont vos joueurs répondent à la concurrence ?
Je crois que l’équipe a franchi les étapes, nous avons plus de ressources, d’options. La concurrence est vitale pour l’équipe. Les joueurs doivent savoir qu’ils doivent être à 100%. C’est l’objectif d’avoir plusieurs options. On a pu avancer, grâce à la direction du club, qui a aidé à construire une équipe de plus en plus forte.
Il peut y avoir une décompression après la victoire contre City, vous avez senti qu’il était nécessaire de remettre le groupe dans la compétition , la pression ?
C’est toujours pareil. Si tu joues au PSG, il y a de la pression tous les jours. Sinon, c’est le problème du coach. Personne ne sera déconcentré demain.
Nous n’avons rien fait encore. Nous devons gagner encore. Ensuite, nous verrons la situation. Nous allons aborder le match de demain la même manière. Gérone, c’était le premier match. Là, ce sera le dernier. C’est pareil, nous voulons une meilleure équipe à chaque match. C’est l’objectif, c’est très simple. J’aime la pression, cela signifie que l’on est au bon endroit.
A quel type de match vous attendez vous demain ? Que craignez vous ?
Après avoir analysé l’équipe, je vois une équipe qui a de nombreux internationaux, qui très bien attaquer et défendre, mettre la pression. Il y a beaucoup de mobilité. Ce sera un match difficile. Ils étaient le pot 4, mais c’est une équipe de très haut niveau. Ce sera un match très difficile sur leur terrain.
Vous êtes convaincu que vous allez gagner demain ?
Je suis toujours convaincu que mon équipe va gagner. C’est ce que je transmets à mes joueurs. Mais dans une compétition comme celle-ci, il faut aussi savoir calmer les joueurs. Notamment dans une équipe jeune comme la nôtre. Il faut savoir gérer la pression, c’est une chose importante et bénéfique.
Tous vos joueurs sont aptes demain ? Vous avez la solution pour remplacer la suspension de Nuno Mendes, il semble y avoir 3 joueurs : Beraldo, Hernandez ou Neves ?
Warren aussi…Il y a beaucoup d’options !
Quel est la clef demain ?
Je ne peux pas le dire avant le match car le coach adverse va m’écouter. Nous pourrons parler demain (rires).
Désiré Doué semble jouer davantage dans l’axe, c’est le projet après l’arrivée de Kvaratskhelia ? Vous le voulez en 10 ?
Nous ne jouons pas avec un 10, ce n’est pas dans notre système. Nous avons une autre occupation de l’espace. Ce n’est pas une option que l’on recherche. Nous avons 7 joueurs pour 3 places. Je suis impatient de les voir attaquer.
Nous avons une grande polyvalence, de nombreuses options. Il faut jouer avec une grande intensité,, proposer des choses positives à l’équipe. C’est ce que je demande aux joueurs et je suis heureux. Pour les 9, 10, ou 11, nous ne voyons pas les choses ainsi.