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·16 décembre 2024
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Alors qu’Olivier Dall’Oglio a soufflé sa première (et unique) bougie à la tête de l’AS Saint-Étienne, l’entraineur stéphanois arrivé en décembre 2023 était en conférence de presse avant la rencontre face à Toulouse, accompagné par Ibrahim Sissoko. L’attaquant malien en a profité pour évoquer sa relation avec son entraineur, sans savoir que c'était son dernier match à la tête de l'ASSE : "Le coach ? C’est un entraineur agréable, on a pu le voir la saison passée. Je ne le connaissais pas personnellement et j’ai vu de quoi il était capable. On enchaine notre deuxième saison ensemble, ça se passe super bien. Ce qu’il m’a apporté ? Déjà la Ligue 1 à moi et à l’ASSE, mais aussi, du plaisir. Ce n’est pas un entraineur qui me limite, je suis assez libre, je pense être épanoui avec ce genre de coach."
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Sur le terrain, Stassin et Sissoko alternent les titularisations, une concurrence évoqué par Olivier Dall’Oglio lors de ce point presse : "On parle beaucoup de concurrence, mais ce qui m’intéresse, c’est l'émulation qu'il peut y avoir à un moment donné. Je veux que les joueurs se disent : "Je vais chercher à être meilleur, parce qu’il y a beaucoup de joueurs à mon poste." C’est ce qu’il faut qu’ils trouvent. Pour les attaquants, c'est différent par rapport à l’année dernière où on avait moins de travail défensif, plus d’occasions. Cette saison, on a beaucoup moins de ballons à négocier et sur le peu d’occasions qu'on a, on leur demande d’être beaucoup plus efficaces. Lucas (Stassin) et Ibrahim (Sissoko) ont des états de forme différents. C'est dû à la fatigue, des fois un d'eux est plus frustré car il n'a pas eu de ballons. Pour moi, ce sont deux joueurs qui ont à peu près le même niveau même s'ils ne sont pas du tout pareils dans le jeu. Mes choix dépendent de l'adversaire et de ce que j’ai vu dans le semaine. Des fois, il nous faut plus de profondeur, des fois il faut plus caler les ballons, ce qu'Ibra' fait très bien. Parfois c'est selon ce qu’on a vu de l’adversaire, selon si on a besoin de plus de profondeur, selon s'il faut qu'on arrive à caler les ballons ou les dévier de la tête. Le fait d’avoir cette émulation, les oblige à être meilleurs."