Calciomio
·20 décembre 2024
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·20 décembre 2024
Comme le raconte Tuttosport, Claudio Ranieri, après la victoire de la Samp en Coupe d’Italie, a jeté un pavé dans la mare en déclarant : « Rome a besoin d’un entraîneur capable de vivre avec les attentes d’une place importante, ce n’est pas pour tout le monde. » Ces mots résonnent alors que Carlo Ancelotti brille avec le Real Madrid, devenant l’entraîneur le plus titré de l’histoire du club après sa victoire en Coupe intercontinentale. Cependant, son avenir reste incertain, malgré un contrat courant jusqu’en 2026, en raison des approches de la fédération brésilienne (CBF), avec Ronaldo en coulisses.
L’intrigue s’épaissit avec Xabi Alonso, considéré comme le successeur désigné d’Ancelotti. En poste au Bayer Leverkusen, Alonso pourrait rejoindre le Real Madrid, si Ancelotti choisit de quitter la Casa Blanca. De son côté, Rome, toujours à la recherche d’un entraîneur italien prestigieux, rêve d’Ancelotti, qui entretient une relation forte avec la ville et ses supporters. Les Friedkin, propriétaires de la Roma, ont déjà prouvé leur ambition en recrutant José Mourinho. De plus, Ancelotti garde un attachement profond pour la Roma, où il a joué et qu’il rêve d’entraîner.
Pendant ce temps, la CBF, avec Ronaldo en lice pour la présidence, continue de courtiser Ancelotti pour redresser les performances de la Seleção, en difficulté sous Dorival. Les liens d’Ancelotti avec les stars brésiliennes comme Vinícius, Rodrygo et le jeune Endrick, qu’il entraîne déjà à Madrid, renforcent cette possibilité. Ainsi, le futur d’Ancelotti semble partagé entre la Seleção, où l’attend un défi mondial, et Rome, une ville où il est déjà aimé et pourrait marquer l’histoire.